1. Tout pour la jouissance


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, hagé, extracon, grosseins, poilu(e)s, hotel, telnet, odeurs, Oral pénétratio, fsodo,

    ... l’occasion de me demander mon adresse. J’ai tourné les talons et m’en suis allée, en dandinant du cul. Jusqu’à ma voiture j’ai senti les regards posés sur moi. Ils devaient tous se dire « Quel mauvais genre ! » mais pour certains cela devait signifier « Je me la taperais bien ». Cette petite expérience me donna des ailes. Certes, j’ai continué un peu avec André. Mais, étant donné que sa femme venait, elle aussi, d’obtenir sa pré-retraite, ce n’était plus pareil. Nous nous sommes quand même revus trois mois plus tard, toujours dans le même hôtel. Depuis il n’a pas trop cherché à me recontacter. Je crois qu’il a été malade l’été dernier. De mon côté, j’avais envie de rencontres plus fréquentes. J’ai donc cherché plus près de chez moi (j’habite dans l’Orne), toujours dans le créneau 50-60 ans (décidément les hommes murs me faisaient fantasmer), de préférence mariés (pour ne pas les avoir tous les jours sur le dos et pour ne pas qu’ils s’attachent) et surtout pas snobs (le style ouvrier, camionneur ou paysan me convenait très bien, je fantasmais de plus en plus sur les grosses mains calleuses que j’avais connues avec André.). Néanmoins, pour autant, je n’avais pas non plus envie d’un gros balourd avec des gros muscles qui me prenne à la va-vite et sans imagination. Et je cherchais plutôt un vieux cochon plein de fantasmes inassouvis. C’est ainsi que j’ai fait la connaissance de Jean-Marie qui tenait une petite ferme à une quarantaine de kilomètres. Il avait épousé une ...
    ... certaine Fatima qui, tout comme moi, s’était empâtée au fil du temps mais qui, contrairement à moi, n’avait plus guère d’envies sexuelle. Peut-être était-elle, elle aussi, dans une phase dépressive, peut-être provoquée par l’approche de la ménopause. Jean-Marie avait 55 ans, brun, barbu, grisonnant, très poilu sur tout le torse et dans le dos. Bien membré et résistant, selon ses propres dires. Fatima, quant à elle, venait de fêter ses 50 ans. D’origine portugaise, très brune, elle était, elle aussi, extrêmement poilue. Vraiment pas féminine au grand désespoir de son mari, elle était en général en pantalon, chemise et en bottes, finalement la tenue idéale pour tenir une fermette. Mais il aurait bien aimé malgré tout que dessous elle puisse mettre des sous-vêtements affriolants en lieu et place de ses vilaines culottes de coton à 10 balles. Mais, pour elle, rien de tout cela, elle était également hostile à toute idée de maquillage. J’imaginais qu’elle devait avoir aussi une grosse touffe noire sous les bras et un buisson entre les cuisses. Toujours est-il que Jean-Marie cherchait à donner un nouvel élan à leur couple et il avait pensé à une femme qui saurait décoincer sa chère et tendre. Je dois dire que j’avais eu quelques aventures féminines dans ma jeunesse et que je n’étais pas hostile à ce genre d’expérience. Il y a 4 ou 5 ans, peu avant ma dépression, j’avais même eu une aventure assez longue et intense avec une mère d’élève qui vivait dans le bourg d’à côté. Son mari l’avait ...
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