1. Tout pour la jouissance


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, hagé, extracon, grosseins, poilu(e)s, hotel, telnet, odeurs, Oral pénétratio, fsodo,

    ... fort.— …— Très très fort, si tu vois ce que je veux dire.— Oui, je vois bien, je vois très bien. Figure-toi qu’il y en a une autre qui est dans le même cas. Nous nous sommes rapprochées et embrassées, d’abord sensuellement, puis avec fougue. — Je ne sais pas ce que tu m’as fait mais depuis que je te connais tu as réveillé mes envies.— On ne pourrait pas aller dans un endroit plus intime, ai-je demandé en regardant le cul crotté d’une des vaches. Elle m’entraîna dans la grange. Par une petite échelle, on accédait à un petit grenier. Nous nous sommes allongées sur le lit de paille en continuant à nous bécoter avec délice. J’avais très envie d’elle, envie de son corps, envie de la toucher, envie de la renifler, envie de l’embrasser. J’ai dégrafé sa chemise. Elle n’avait pas de seins et des tétons énormes et très sombres. Je les ai tripotés, ils étaient très durs, avant de les sucer. Elle s’est mise à glousser, apparemment, ça lui faisait beaucoup d’effet. Ensuite j’ai écarté sa chemise pour admirer ses dessous de bras. Ainsi que Jean-Marie me l’avait confié, elle avait une grosse touffe de chaque côté. Je n’ai pu résister à la tentation d’y poser les narines et de humer longuement ses dessous de bras. Son acidité, exacerbée par son activité physique était enivrante, je ne pouvais m’en détacher. Par la suite, c’est elle qui a pris la direction des opérations, ne me laissant aucun répit, dévoilant tout d’abord mes lourdes mamelles, s’émerveillant devant mes aréoles ...
    ... boutonneuses, les palpant, les léchant et torturant les pointes. Je sentais ma culotte trempée entre mes cuisses. J’avais une énorme envie qu’elle plonge vers mon sexe, qu’elle le frotte, qu’elle le gratte, qu’elle le lèche mais elle prenait tout son temps et me faisait languir. Ça n’en finissait pas, tous mes sens étaient en éveil. Enfin, elle a plongé sa main dans ma culotte et a fouillé mon con. J’étais poisseuse d’envie. Je l’ai aidée à me débarrasser de mes derniers vêtements, nous les avons étalés dans la paille avec les siens pour nous faire un lit un peu plus douillet. En comparant nos chattes je me suis aperçu qu’elle était nettement plus poilue que moi qui l’étais pourtant déjà pas mal. Une forêt dense de poils drus. Quant aux aisselles, j’étais battue à plate couture car je venais de m’épiler. Sa main n’en pouvait plus d’aller et venir dans mon con juteux. J’étais au paroxysme de l’excitation. Elle le savait et évitait soigneusement mon clito, se contentant de me fouiller. Combien mettait-elle de doigts ? Peut-être la main toute entière, elle m’écartelait. J’ai explosé dans ses doigts, un long jet de cyprine. Je me suis mordu les lèvres jusqu’au sang pour ne pas crier tandis qu’elle continuait à aller et venir dans ma chatte détrempée. J’avais à peine repris mes esprits que Jean-Marie faisait irruption dans la grange et nous appelait : — Fatima, Anne-Marie, où êtes vous ? Nous nous sommes planquées. « Il va falloir y aller, il va nous chercher » dit doucement Fatima en se ...
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