Tout pour la jouissance
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
hagé,
extracon,
grosseins,
poilu(e)s,
hotel,
telnet,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... quittée et nous passions des après-midi entières dans son appartement à nous brouter la foune. Par la suite, elle avait retrouvé un homme et je l’avais regrettée. De là à dire que c’est pour ça que je m’étais mise à déprimer. Non, je ne le pense pas, mais cette expérience aurait pu m’éviter de sombrer si elle s’était prolongée. Depuis toujours, Denis m’avait avoué qu’il aurait bien aimé me voir faire l’amour avec une autre femme et, depuis toujours, je le lui avais refusé, estimant que c’était là mon petit domaine secret et que je n’avais aucune envie de partager ce genre de fantasme avec lui. La situation entre Jean-Marie et Fatima était un peu similaire. Jean-Marie parlait souvent à Fatima de son envie de la voir dans les bras d’une autre femme et de son côté elle s’y refusait. Pourtant, elle avait, elle aussi, déjà essayé, elle avait eu une aventure avant son mariage avec une amie d’enfance, aventure qui s’était prolongée de longs mois, à tel point que dans ce lieu reculé, cela avait fait jaser. Raison de plus pour laquelle Jean-Marie ne comprenait pas le refus de sa compagne de renouveler cette expérience. Je pris un peu cela comme un défi personnel : Qu’aurait dû faire une femme pour me convaincre de faire l’amour avec elle en présence de Denis ? Comment aurait-elle dû s’y prendre ? Forcément, il lui aurait fallu me séduire. Je me rendis une première fois chez Jean-Marie et Fatima. Il me présenta comme une vague cousine qu’il avait retrouvée par hasard. C’était des gens ...
... ordinaires, ni vraiment beaux, ni vraiment laids, lui était en tout cas nettement mieux qu’elle. Fatima était timide et effacée, un peu sauvage également, mince mais malgré tout très légèrement potelée, les cheveux courts, les yeux marron foncé, une grande bouche bien dessinée, et effectivement un peu trop masculine dans ses gestes, dans son attitude et sa façon de parler. Je ne sais pas trop pourquoi, je ne saurais pas trop l’expliquer par des mots mais elle m’a tout de suite plu, plus que lui d’ailleurs. Je l’ai suivie partout, elle m’a montré toute la ferme et nous avons sympathisé. A la fin de la journée, comme je devais m’en aller, elle m’a fait promettre de revenir. Je lui ai même laissé mon numéro de portable au cas où mais je savais qu’elle n’appellerait pas. J’y suis retourné deux fois. Il ne s’est rien passé de particulier. Nous passions de bons moments ensemble à travailler, à rigoler, elle semblait bien en ma présence. Jean-Marie, de son côté, commençait à s’impatienter : « Quand allais-je me décider ? ». C’était presque des reproches. Mais il n’y avait aucune garantie de réussite mon petit père ! La fois d’après, nous étions dans l’étable à nettoyer la merde près des machines à traire : — Fatima, il faut que je te dise quelque chose mais j’ai peur de te choquer. Elle posa la pelle et se tourna vers moi, les mains posées sur les hanches, attitude à la cow-boy. — Bof, dis toujours. Rien ne peut me choquer.— Depuis que je te connais, ça m’arrive de penser à toi très ...