1. Transaction particulière


    Datte: 14/07/2017, Catégories: fhh, voisins, campagne, intermast, double, Partouze / Groupe jeu,

    ... qu’il me fasse la fameuse réponse de Pierre Dac : « Par-là, je n’entends rien du tout ! » Mais non, il répond très sérieusement : — Je ne sais pas : l’embrasser, la caresser ; aller peut-être un peu plus loin si elle est d’accord. Je vois à sa gêne que l’idée ne vient probablement pas de lui et qu’il n’est pas enthousiasmé par cette idée. Pour en être sûr, je lui demande : — Et votre femme serait d’accord pour ça ? J’ai alors la confirmation de ce que je pensais. — C’est elle qui l’a proposé.— Bon. Eh bien, écoutez : je vais y réfléchir, et je vous donnerai ma réponse en fin de semaine prochaine. En sortant de chez lui, me vient alors une idée dont je ne suis pas très fier mais à laquelle je vais quand même réfléchir… La femme de mon voisin Michel est une femme encore très séduisante malgré ses quarante ans, et que j’ai toujours regardée avec un peu de concupiscence. Elle a été, en effet, gâtée par la nature : jolie figure, cheveux courts très foncés, poitrine généreuse qui donne envie de la connaître mieux, jolies cuisses remarquées plusieurs fois alors qu’elle était en short dans son jardin. Enfin, tout ce que j’aime chez une femme. Vous avez, je pense, deviné la nature de l’idée qui m’est venue : je vais probablement décider de faire la même proposition à mon voisin, mais cette fois-ci inversée. Dans la semaine, je lui envoie un mail lui demandant de nous rencontrer chez moi, à Paris (où il habite également) pour lui faire une proposition. Je lui propose le jeudi suivant ...
    ... à 19 heures. Étant divorcé depuis cinq ans, j’habite seul un bel appartement de trois pièces dans le Sud de Paris. Le lendemain, je reçois une réponse positive de sa part, ce qui ne m’étonne pas, étant donné son insistance – et surtout celle de sa femme – à acquérir mon terrain. Le jeudi suivant, à 19 heures tapantes, on sonne à ma porte : c’est mon voisin de campagne. — Bonsoir, entrez !— Bonsoir, je suis content que vous m’ayez écrit. Nous commencions à désespérer. Moi, c’est Michel ; et vous ?— Bernard. Venez vous installer dans le salon. Je nous sers un apéritif. En réalité, je ne sais pas par quoi commencer. Le sujet est délicat. Je me jette à l’eau : — Voilà : comme vous vous en doutez, c’est au sujet du terrain que vous voulez acheter depuis plusieurs années. Vous savez que, jusqu’à présent, j’ai toujours refusé car je voulais vendre le tout, maison et jardin. Or, la semaine dernière, j’ai eu une proposition qui ne me convient pas tout à fait, mais que je dois quand même considérer.— Si c’est une question de prix, nous pouvons peut-être faire un effort.— Non, il ne s’agit pas de cela. Et arrivé là, je me sens complètement perdu. Je prends sur moi et je continue : — L’autre personne intéressée m’a fait une… proposition qui sort un peu de l’ordinaire, mais qui ne me laisse pas indifférent. Je vois qu’il est un peu perdu et qu’il ne voit pas où je veux en venir. Je poursuis quand même : — En fait, sa femme m’a proposé d’avoir quelques… privautés avec elle ; mais j’avoue, ...
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