Transaction particulière
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
fhh,
voisins,
campagne,
intermast,
double,
Partouze / Groupe
jeu,
... décente. Quant à Martine, la voir assise en tailleur, sa jolie toison encadrée par ses cuisses écartées me met dans un état second qui, heureusement, ne se manifeste pas physiquement. Le déjeuner, arrosé de bons vins, se passe gentiment. À aucun moment nous n’évoquons ce qui s’est passé le matin. Le repas terminé, le matériel rangé, je propose – avec certaines arrière-pensées – de nous reposer, profitant de l’ombre fournie par les arbres qui nous entourent. La couverture que nous avons disposée sur le sol est assez large pour nous accueillir tous les trois. Nous nous allongeons côte à côte, Martine ayant choisi malicieusement de se placer entre Michel et moi. Me tournant légèrement vers elle, je décide de jouer le tout pour le tout, en me disant en moi-même« Ça passe ou ça casse ! » Je pose ma main droite sous sa poitrine, la remonte jusqu’à ses seins que je caresse lentement, l’un après l’autre. Pas de protestation. Je me penche au-dessus d’elle, pose mes lèvres sur les siennes qu’elle a entrouvertes en me voyant approcher. Ma langue se fraie un passage dans sa bouche à la recherche de la sienne. Elles se trouvent, se mêlent. Ma main pétrit maintenant sa poitrine, puis lentement descend vers ses cuisses, les caresse, les entrouvre pour pouvoir se glisser sur sa toison à la recherche du petit bourgeon que je sens grossir sous mes doigts. Ma main reprend son exploration, rencontre les grandes lèvres encore humides, les écarte pour que mon doigt puisse de nouveau pénétrer ...
... dans le chaud et humide tunnel. Je sens Martine bouger insensiblement son bassin, sa main venir reprendre possession de ma verge maintenant dressée comme un pieu. Nous commençons à nous masturber mutuellement. Michel s’est dressé sur un coude pour mieux nous observer. Son sexe en érection trouve sa place dans la main libre de sa femme qui, tout en nous branlant tous le deux, ondule de plus en plus du ventre. De plus en plus excitée, n’y tenant plus, elle me demande : — Viens sur moi, viens me baiser. Je veux sentir ton sexe me pénétrer ! Je ne me fais pas prier. Je m’allonge entre ses cuisses ouvertes tandis qu’elle saisit ma verge, la frotte quelques instants contre son clitoris avant de la guider vers son puits d’amour. Je la pénètre très doucement, lui arrachant un petit gémissement de plaisir. Puis je commence à la pilonner de plus en plus vite jusqu’au moment où mon pilonnage se transforme en coups de boutoir. Entre-temps, Michel, toujours branlé par sa femme, a posé sa main sur mes fesses. Je crains le pire. Mais non, il se contente de me caresser les fesses. Au bout de quelques minutes, je sens que je vais bientôt décharger. Je me retiens car je veux jouir en même temps que Martine. Mêlant nos râles et nos cris, nous jouissons ensemble. Michel, excité par la puissance de nos orgasmes, décharge dans la main de Martine puis, dans un ultime sursaut, nous retombons tous les deux, épuisés. Je me laisse tomber à côté de Martine qui gît, les cuisses écartées laissant apercevoir ...