Transaction particulière
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
fhh,
voisins,
campagne,
intermast,
double,
Partouze / Groupe
jeu,
... relevés, je me mets à genoux devant Martine, pose les mains sur ses hanches et, tout doucement, roule la petite culotte le long de ses hanches, dévoilant ainsi progressivement sa douce toison brune. Je reste un petit moment dans cette position, admirant le sexe offert à ma vue, puis je fais glisser le slip jusqu’aux pieds de Martine. Me relevant, je caresse de nouveau ses seins, descend ma main, la plaque sur son sexe et lui masse doucement le clitoris. Les yeux fermés, Martine semble apprécier mes caresses. Je la fait alors s’étendre sur la couverture qui est au sol, m’allonge à côté d’elle, reprends mes caresses et pose ma main sur sa toison pour commencer à la masturber. Spontanément, Martine ouvre grand ses cuisses afin de me permettre de mieux masser son clitoris, et surtout de pénétrer avec mon doigt sa foufoune déjà toute humide. Elle, de son côté, a refermé sa main autour de mon membre bien gonflé et a commencé à le masturber. Maintenant, elle bouge de plus en plus vite son bassin pour accompagner mon action. J’accélère de plus en plus les mouvements de ma main jusqu’au moment où ses gémissements de plaisir se transforment en petits cris en partie étouffés par mes baisers : — Oui !… Oui !… Encore !… Continue !… Je vais jouir !… Je jouis… Je jouiiiiis… Quelques spasmes crispent son ventre, et enfin elle se détend, allongée, impudique, les cuisses grandes ouvertes. Après quelques minutes, elle se tourne vers moi, me caresse la poitrine, et tout en m’embrassant descend ...
... sa main vers mon ventre, prend mon sexe dans sa main, caresse le gland de son pouce et commence une lente masturbation. Très vite, bandant comme un taureau, excité par sa jouissance, je sens mon plaisir près d’éclater. À ma crispation, Martine sent que je vais bientôt jouir. Elle abandonne ma bouche pour pouvoir observer mon éjaculation. Une première giclée l’atteint sur le menton ; elle a juste le temps de se reculer un peu pour éviter les puissantes giclées suivantes. Un « Oh ! » admiratif accompagne mes râles de plaisir. Après m’avoir complètement vidé, je l’entends me dire : — Tu sais, je n’ai jamais vu un garçon gicler aussi fort ! Ce constat me procure une certaine satisfaction très machiste. Je me dois de reconnaître qu’ils ont ainsi rempli pleinement les termes de leur contrat. Cependant, j’aimerais tellement que Martine accepte d’aller plus loin avec moi… De l’avoir vue dans toute sa nudité, de l’avoir caressée, de l’avoir embrassée, de l’avoir fait jouir m’a donné une terrible envie de lui faire l’amour. Mais je ne sais pas si cela est réciproque. Je vais quand même tenter ma chance. La raison « officielle » de notre présence dans cette forêt étant un pique-nique, je leur propose donc : — Je pense que nous avons bien mérité de nous restaurer. Aidez-moi à mettre la table et déjeunons ! Nous nous installons de nouveau autour de la couverture-nappe, toujours nus et toujours assis en tailleur. Nos instruments, à Michel et à moi, sont au repos et ont repris une attitude ...