Festival lesbien (1)
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
Lesbienne
... Laisse-moi voir tes seins, chérie. La précipitation me réjouit, le tee-shirt disparut. Mon amante prit le temps d’admirer ma poitrine avant de dévorer mes tétons, de les mordiller, la caresse presque agressive imprima l’empreinte de ses mains sur la peau de mes globes. – Ils sont beaux, délicieusement beaux, surenchérit Françoise en s’agenouillant sur le tapis entre mes cuisses ouvertes. Désireuse d’écourter les préliminaires, elle dévoila à mon intention les rondeurs molles sous sa robe et dégagea mon minou du slip sans prendre la peine de l’enlever. Assise sur le bord du lit, appuyée sur mes bras tendus en arrière, je m’offris impudique de manière à ne rien rater du spectacle. Son regard me transperçait, me pénétrait. Les yeux fermés, il aurait été facile de l’imaginer se pourlécher les babines de gourmandise, mais je souhaitais l’observer en train de lécher autre chose. Françoise ouvrit ma fente des deux mains pour introduire sa langue dans mes chairs. Voila ce que j’attendais. – Hummmmmm… Encouragée par ma réaction, mon amante fouilla ma vulve avec frénésie, comme si elle voulait enfouir sa bouche dans ma grotte pour me lécher au plus profond. J’en avais le souffle coupé, je me sentais mangée de l’intérieur. Elle lança une main impatiente vers son bas-ventre. Il était impossible de distinguer la scène, dommage, je ne pouvais qu’imaginer une vieille se masturber en broutant le minou d’une fille de 19 ans. Le clapotis intempestif des doigts dans sa mouille résonna dans ...
... la chambre, mon excitation franchit un nouveau palier vers l’extase tandis que la langue aventureuse ne me laissait aucun répit. – C’est bon… lèche-moi… oui, comme ça… Je devinai à son regard que m’entendre parler l’inspirait. – Branle-toi en même temps… Hummm… encore… Sa langue nichée dans ma grotte, la bouche collée à ma fente, Françoise gémit. Elle ne tenait plus. Je décidai de l’accompagner. – Oui ! Vas-y, jouis ! Mon amante explosa presqu’aussitôt, comme si elle attendait ma permission après des années d’abstinence. Ses cris noyés dans mes chairs amenèrent mon propre désir à son point culminant. C’est moi que ma voix inspirait désormais. – Touche mon bouton… Branle-le avec ton doigt… Françoise pas encore remise de ses émotions s’exécuta. Je ne lui permettrais pas de reprendre son souffle au risque de briser mon élan. – Lèche-moi avec ta langue ! Pince mon clito entre tes lèvres ! Oui, je viens… Oh !… tu me fais jouir… Je m’offris un orgasme long, bruyamment exprimé. Mon amante déglutit ma cyprine avec une réelle gourmandise comme si rien d’autre ne pouvait étancher sa soif. Puis elle s’assit sur le lit, la bouche luisante étirée sur un remerciement silencieux. J’enfilai mon tee-shirt avant de filer. On n’avait même pas pris la peine de s’embrasser, c’était très bien comme ça. Le bureau de la réception, 00 h 40, je demandai un papier et un stylo afin de noter le numéro de Valérie inscrit sur mon avant-bras. Le besoin de sommeil ne se faisait pas encore sentir, le sourire ...