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Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (1)
Datte: 27/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... en auras l’occasion plus tard. Allez ! — Tu n’es vraiment qu’une salope ! — Oui ! Votre pute ! Alors souillez-moi, mes salauds ! Utilisez-moi pour vous faire du bien ! Elle s’immobilisa pour aider Steve à la pénétrer. Elle cria quand il s’enfonça jusqu’à la garde dans sa chatte dégoulinante de mouille. — Julie, tout va bien ? s’inquiéta-t-il. — Oui. Allez, baise-moi ! Qu’est ce que tu attends ! Je n’arrivais pas à croire qu’elle était aussi chienne et qu’elle rêvait de ce genre de truc. J’allais de surprise en surprise. Steve s’appliquait à lui défoncer le vagin tandis que j’étais toujours dans son cul. On la pilonnait tous les deux. Elle hurlait de plaisir. — Oh ! Putain ! Oui ! C’est ça que je voulais ! Aaaaaaah ! — C’est ça que tu voulais depuis le début ?! lui gueula Steve. — Ouiiiii ! — Te faire prendre en sandwich comme une grosse pute ? — Ouiii ! Je sens vos bites au fond de moi, c’est terriiiiiiiiiiiiiiiible ! — C’est pas ta première fois, hein salope ?! — Siiiiiiiiii ! C’est ma première foiiiiiiiis. J’en ai toujours eu enviiiiiiiiiie. Et j’adoooooooooooooore ! Elle avait l’air si heureuse de réaliser son fantasme, et nous l’étions tout autant de l’aider. Jean n’en pouvait plus de nous regarder et la força à le prendre dans sa bouche. Elle était maintenant prise par tous les trous, et je jurerais qu’elle n’arrêtait pas de jouir. Si je m’étais souvent imaginé Julie en salope, ce n’était jamais à ce point-là. Mais je dois dire que cela m’excitait beaucoup de savoir que ...
... la fille qui refusait toujours qu’on la touche aimer en réalité être ramonée par plusieurs mecs en même temps. Jean et Steve échangèrent leur place. Elle avait l’air de prendre très mal le fait de se retrouver ainsi avec un orifice vide même que pour quelques secondes : — Merde ! Venez me remplir vite ! Elle cria de bonheur quand Jean la pénétra. — Allez-y ! Baisez-moi tous les deux ! Prenez-moi comme votre pute ! Je suis votre sac à foutre ! Je ne veux plus être capable de marcher demain ! Je ne la reconnaissais plus, mais sur le moment, je m’en foutais. Jean lui releva les jambes pour avoir un meilleur angle de pénétration. On exécuta sa volonté et la baisa sans aucune considération pour elle. Elle était notre objet, et elle ne pouvait rien faire. Elle semblait prendre un plaisir monstrueux de la situation, comme si ca l’excitait de faire de nous des animaux qui ne pouvait penser à rien d’autre qu’à la défoncer. J’ai toujours su qu’elle aimait qu’on ait envie d’elle vu comment elle avait l’habitude de nous allumer, mais j’ignorais à quel point cela cachait son envie de limite se faire violer par nous trois. Je n’ai jamais vu une fille autant aimer la bite. Ma meilleur amie était une salope, une vraie. Jean et Steve échangèrent leur place plusieurs fois. J’étais heureux d’être celui qui ne devait pas bouger et de pouvoir ainsi profiter pleinement de son cul. Puis ils décidèrent de changer de position. Jean s’allongea, et Julie le chevaucha de face pour qu’on puisse l’enculer ...