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Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (1)
Datte: 27/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... chacun à notre tour. Steve fut évidemment le premier, il attendait ça depuis trop longtemps. J’en profitai pour me faire sucer pendant ce temps. Elle était à bout de force. Cela devait bien faire vingt minutes qu’on la baisait. Elle n’avait plus vraiment capable de faire une fellation. Je dus faire moi-même du va-et-vient dans sa bouche comme si c’était sa chatte pour me faire du bien. Elle joua un peu de sa langue pour amplifier mon plaisir. Steve n’arrivait plus à décrocher de son cul. Il la lima à un rythme effréné comme s’il cherchait à se décharger dans son cul. J’espérais que ce ne fut pas le cas, car je n’avais pas oublié la promesse de Julie. Quand je sentis qu’il n’était plus très loin, je le forçai à arrêter et pris sa place. On échangea ainsi nos rôles à plusieurs reprises en la baisant encore pendant de nombreuses minutes. On avait tous très envie d’en finir et d’éjaculer. Je ne suis pas vraiment sûr de ce qu’on attendait. Je crois que je m’étais jamais autant retenu de toute ma vie. Je ne m’étais pas branler depuis des jours. J’avais les bourses pleines de sperme qui me suppliait de se vider. J’avais mal à la bite à force de la prendre dans tous les sens. J’avais besoin d’une délivrance salvatrice. Julie semblait jouir sans arrêt. Les rares fois où elle parlait, c’était pour nous encourager à continuer. Elle était insatiable. Puis finalement, elle nous implora tout de même d’arrêter : — Pitié, stop les garçons. Je n’en peux plus. Ca suffit. Ses paroles ...
... étaient à peine audible tant elle était essoufflée. J’accueillis sa reddition avec soulagement. Enfin ! Il nous restait plus qu’à éjaculer. — Tu as eu ton compte, petit pute ? l’insulta-t-Steve. — Oui. Vous m’avez détruite. Bande de salauds. — Tu as aimé ça ?! — Oui ! Je n’ai jamais autant joui de ma vie ! vmlvbbed — C’est bien ! Brave pupute ! On sortit de tous ses orifices et la laissa récupérer un peu. Elle s’écroula au sol sans bouger, en train d’essayer de récupérer son souffle. Je craignis qu’on y soit allé un peu fort au début, quand je vis son regard : elle avait l’air d’être aux anges. Heureuse et repue. Elle voulait une orgie avec trois mecs qui la défonce sans vergogne, elle l’a eu. Mais ce n’était pas encore tout à fait fini. — Julie... réclama Jean. — Oui... Oui... c’est votre tour maintenant. Vous l’avez bien mérité. Elle se redressa à genou, les bras entre ses jambes écartés, en signe de soumission. — Allez-y les garçons. Jouissez pour moi. Recouvrez-moi de votre foutre ! Elle avait l’air d’une chienne assoiffée de sperme. Je n’avais jamais rien vu de tel. Elle s’offrait à nous, attendant notre jus comme une offrande. On se masturba tous furieusement pour nous finir. C’était merveilleux, nous n’avions plus à nous retenir, juste à nous laisser jouir. Nous étions comme des masos qui arrêtaient enfin de se torturer. — Allez, les garçons ! Je veux qu’il pleuve du sperme ! J’ai besoin d’une douche de foutre ! Me dites pas que vous n’en avez pas envie ! Ses mots nous ...