Monstrueuse - Accélération
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
fh,
poilu(e)s,
laid(e)s,
douche,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
... à se prendre la tête et ça mettait vraiment en confiance. Du coup on n’était pas parasité par des questions à la con, style « Est-ce que je vais bien bander ? Est-ce que je vais bien la faire jouir ? », le genre de questions que se posent parfois les mecs lorsqu’ils perçoivent un enjeu important dans les rapports et qu’ils cherchent à faire face. Le genre de questions aussi qui peuvent parfois leur faire perdre tous leurs moyens. Avec Annick, tout était au contraire simple et naturel, pas de dominant, pas de dominé, pas de nana, pas de mec, pas de rapport conflictuel ou de questions métaphysiques et surtout rien à prouver mais uniquement du fun et du plaisir. Elle était réellement trempée d’envie et elle se tortillait voluptueusement sous mes caresses. À peine avais-je commencé à la caresser qu’elle explosait déjà. Mais je crois qu’il lui fallait déjà cette première jouissance. Elle était trop à fleur de peau, l’envie de jouir était trop forte, il fallait d’abord libérer toute cette pression avant d’aller plus loin. Ensuite elle s’est calmée un peu, elle venait de jouir entre mes doigts et s’était blottie contre moi, radieuse et chatte. Un court instant de repos avant une nouvelle bataille. Elle passait ses mains sur mon corps dans un lent mouvement d’exploration, sensations nouvelles, je trouvais qu’elle était particulièrement tendre, particulièrement douce. Lentement, en se contorsionnant comme une panthère, elle est descendue vers mon sexe et l’a embouché avec ...
... prestance. Nul n’aurait pu deviner qu’elle faisait ça pour la première fois, il n’y avait même pas l’ombre d’un doute dans sa démarche. Sans être tout à fait une experte, elle valait bien les quelques filles qui m’avaient fait ça jusqu’à ce jour. — Tu aimes ?— J’adore, tu es très douée.— J’aime ton odeur.— J’aimerais goûter la tienne. Et c’est spontanément qu’elle est venue se positionner en 69 au-dessus de moi pour me présenter sa fourrure épaisse. J’ai inspecté sa fente avec délicatesse avant d’y risquer la langue. Son jus était abondant, épicé et onctueux, à savourer avec délice. Elle était totalement trempe, j’avais jamais vu ça. Ses poils luisaient de mouille, vraiment très excitant. L’excitation associée à son déchaînement buccal eurent raison de mon envie. J’avais atteint le point de non-retour et j’explosai bientôt comme un fou sur sa bouche. Elle parut à peine surprise et continua à me lécher, à m’avaler, me faisant juter par saccades. A peine avais-je repris mes esprits que je la retournai sur le plumard. — À mon tour de te faire du bien. Plongeant la tête entre ses cuisses, j’entrepris de la dévorer consciencieusement, lapant sa mouille avec ma langue, retournant sur son clito, glissant mes doigts en elle. — Ô, continue comme ça, c’est trop génial, tu vas me faire mourir de plaisir. Encore plus loin, encore plus fort, encore plus vite. Elle se mit à brailler : — C’est bon, c’est trop bon, Dieu que c’est bon… oh, c’est pas possible La jouissance vint qui investit tout son ...