1. Monstrueuse - Accélération


    Datte: 29/03/2018, Catégories: fh, poilu(e)s, laid(e)s, douche, intermast, Oral 69, pénétratio, init,

    ... sur le lit évidemment… je n’ai pas autre chose… tu veux boire quelque chose ? Il y a peut-être des jus de fruit chez mamimounet.— Non, ça ira. Elle s’était assise en tailleur à quelques centimètres de moi. Une certaine distance s’était installée entre nous depuis que nous étions entrés dans cette pièce. — Tu sais pourquoi j’ai le trac ?— Parce que c’est la première fois.— Oh non, pas du tout. J’ai le trac parce que tu vas me voir nue et que je n’ai pas envie que tu me vois nue.— On peut éteindre la lumière si tu préfères.— Ben non, j’ai pas envie de biaiser, je sais que c’est juste un mauvais moment à passer mais, pour l’instant, je suis pas bien du tout, c’est tout.— …— Tu sais que je suis très poilue mais tu n’imagines pas à quel point. Pour moi c’est vraiment une horreur. C’est pour cela que je suis toujours en jean et avec des manches longues, et même en été. Parce que je suis une vraie petite guenon… Voilà c’est dit, c’est fait, il reste plus qu’à passer à la pratique. Et de se mettre debout sur le lit et d’enlever lentement son pull, son sous-pull, puis son jean, le regard dans le vague, les yeux dans le lointain. Puis, de se tourner lentement et de se retourner. — Et voilà le travail— Et ben, viens t’allonger près de moi, tu ne vas pas rester toute seule comme ça.— Tu as toujours envie de faire l’amour avec une femme comme moi ?— Oui, sans problème ! Et je ne vois rien de dramatique.— T’es gentil. Mais t’as vu tous ces poils, j’ai des plaques de poil partout, c’est ...
    ... dégoûtant, monstrueux, tu comprends ?— Allez, viens, arrête de faire ton cirque, tu vas gâcher notre première fois, on s’en fiche que tu sois la femelle du loup-garou. Enfin, personnellement, je m’en fiche. Et puis, si ça te dérange tant que ça t’as qu’à te faire prescrire des hormones.— C’est pas si simple mon petit monsieur.— On en rediscutera plus tard mais, pour l’instant, si madame pouvait avoir l’extrême obligeance de venir à mes côtés, ne serait-ce que pour faire un petit câlin, plutôt que de me prendre la tête avec ses problèmes de poils… ce serait vraiment sympa.— Mais t’es un vrai connard !— Allez, viens pitchoune, je t’aime avec tous tes poils, regarde comme tu es loin de moi. J’men fous de tes poils pour l’instant, et si tu viens pas, c’est moi qui t’attrape.— Chiche Fallait pas me le dire deux fois. L’instant d’après j’étais debout près d’elle et je la coinçais contre la table. Elle était en petite culotte, complètement nue et sans soutien-gorge, ses petits seins aux bouts pointus, arrogants qui pointaient vers l’horizon. Elle était chaude, brûlante, chaude et désirable. Je l’ai enlacée et embrassée à nouveau avant de l’entraîner lentement sur le lit : — T’avais oublié que je t’aime ?— Non, mais je crois qu’il est vraiment temps de passer aux choses sérieuses. Nous avons roulé ensemble sur le lit un long moment en nous chamaillant comme des fous. Annick était terriblement joueuse, ça se voyait, ça se sentait. Au fond d’elle-même c’était vraiment pas le genre de nana ...
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