1. Monstrueuse - Accélération


    Datte: 29/03/2018, Catégories: fh, poilu(e)s, laid(e)s, douche, intermast, Oral 69, pénétratio, init,

    ... la première fois, sans soucis majeur vu son état intime. La pauvre petite pitchoune, je l’écrasais presque. Elle me fit rapidement comprendre qu’elle désirait la direction des opérations et elle décida de venir sur moi. Après quelques petits loupés et hésitations, le temps pour elle de prendre connaissance de la topologie des corps, elle s’emmancha profondément sur mon dard en poussant un grand soupir de satisfaction. S’en suivit une chevauchée fantastique, d’abord au pas et puis au trot, enfin au galop. Luisante de sueur, mon amazone poilue m’astiquait sans relâche. J’étais au bord de l’explosion… tout prêt de… l’engrosser, de déverser toute ma semence en elle, abondamment. Au cours de ce périple elle avait joui je ne sais combien de fois, j’en ignorais le compte exact, ne me fiant qu’à ses grimaces et à ses roucoulements de plaisir. A la fin, tandis que je lui aspergeais la matrice, elle retomba épuisée sur moi. Toute son énergie était restée dans ce combat sans merci et elle s’endormit comme une souche dans mes bras. Nous passâmes toute la nuit corps contre corps, serrés l’un contre l’autre, repus, comblés, nageant dans le bonheur. Nous ne refîmes pas l’amour, même au petit matin. Nous avions tout donné et n’avions pas véritablement le besoin de recommencer (J’ai toujours été bluffé par ces hommes qui baisent 10 fois dans la même nuit, ça me laisse sceptique. Mais peut-être suis-je un sous-homme ?). Lorsque nous nous sommes réveillés, nous étions encore enlacés l’un à ...
    ... l’autre. Plus tout à fait dans la même position mais, quand même, difficile d’être plus proches. — Merde, il est déjà 7 heures 10 et j’ai cours à 8 heures 30. Et il faut trois quarts d’heure pour aller au bahut. Ce cours là, il faut vraiment pas que je le loupe, sinon je peux avoir un averto.— On prend une douche ensemble, ça te dit ? Mais sage sage, OK. Sitôt dit, sitôt fait, le temps de nous habiller, de passer dans la maison d’à côté, d’allumer le chauffe-eau et nous étions sous la douche. — Regarde ailleurs, arrête de regarder mes poils.— Pfff, toi, tu mérites de te faire arroser. Il y en avait partout dans la salle de bain. Et, tandis qu’elle s’habillait : — Non, sincèrement, dis-moi ce que tu en penses ?— Je pense que tu es unique et c’est déjà un très gros avantage pour toi. Moi je t’aime comme tu es. Et si un jour tu veux te refaire la façade ou je ne sais trop quoi d’autre, tu le fais pour toi, rien que pour toi mais sans penser à moi et sans penser aux autres. C’est toi qui doit être bien dans ta tête, les autres ils doivent s’adapter, point-barre. Et comme tu es déjà bien dans ta tête, je ne vois pas pourquoi tu t’emmerdes.— C’est vraiment comme ça que tu penses ?— Dans la vie, il faut savoir être égoïste, il faut surtout penser à soi !— Allez, dépêche-toi, on va être en retard… Tu m’accompagnes jusqu’à mon bahut ? A midi je me suis pris une soufflante par mes vieux. — Où étais-tu ? J’étais morte d’inquiétude. Tu te rends compte, tu aurais pu prévenir ! Si tu étais ...
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