1. Le cas du docteur Lambert


    Datte: 30/03/2018, Catégories: ff, Collègues / Travail amour, Masturbation

    ... bonne pour une soirée plateau repas DVD. Ce seraSur la route de Madison ; je vais encore verser une larme, mais j’adore le film et Meryl Streep, et ce soir, comme je me sens vraiment à l’Ouest, exceptionnellement, je m’autorise un scotch, et même deux. Elle n’est pas venue ; je me suis endormie sur mon canapé, avec Babette sur les genoux. ****** La journée qui vient va être pénible. Ce matin déjà, pas un mot, pas un regard ; un vague signe de tête en guise de bonjour et c’est tout. Ambiance pourrie ! Elle consulte le cahier des rendez-vous sans même m’adresser la parole ; j’ai envie de lui balancer des baffes ! Heureusement qu’il y a les clients et leurs gentils toutous pour me faire penser à autre chose ! Au moins, ils sont sympas, eux. La journée s’achève, et franchement, il est grand temps parce que j’en ai marre de cette atmosphère ! — Rebecca, voulez-vous passer dans mon bureau, je vous prie… Bon, je devais m’y attendre ; je crois que l’heure des explications a sonnée ! Et son ton ne présage rien d’agréable… Assise à son bureau, elle finit d’annoter je ne sais quoi sans lever les yeux vers moi ; cela dure un moment. Bon, il ne faudrait pas qu’elle me fasse poireauter trop longtemps comme ça, parce que là, mes nerfs vont lâcher et je ne répondrai plus de rien ! Enfin elle pose son stylo, ouvre un tiroir et en sort une feuille de papier que je reconnais comme étant mon petit mot ; elle lève enfin la tête vers moi en tenant ma missive entre le pouce et l’index. — Vous ...
    ... reconnaissez ce papier ?— Bien sûr !— Écoutez-moi bien, Rebecca ; je devrais vous sanctionner pour ce que vous avez fait, mais dans ma grande mansuétude, je ne le ferai pas. Dans sa grande mansuétude ! Non mais, je rêve ! Elle se prend pour qui, la véto ? Et puis elle se lève, contourne le bureau et vient se planter devant moi. — Seulement, vous n’allez pas vous en tirer comme ça…— Que voulez-vous dire ? Elle me met mon papier sous le nez et l’agite comme un éventail. — Tenez, reprenez votre littérature… J’avoue que je ne l’ai pas vue venir ! J’ai à peine saisi mon petit mot qu’elle me prend la tête entre ses mains et qu’elle colle ses lèvres sur les miennes ; oh, la vitalité qu’elle a, ma vétérinaire ! Et ce jeu de langue ! Alors OK, je ne refuse pas le combat. Dieu, quelle bataille… Et ça dure ! Jusqu’à ce que je sois au bord de la suffocation : pouce ! Je demande une trêve, je n’en peux plus ! Il faut que je respire un peu, moi ! Elle aussi d’ailleurs, puisque sans concertation on désunit nos bouches en feu. Une pause ; mise à profit pour reprendre notre souffle, un regard qui n’est rien d’autre qu’une invite à reprendre la lutte et on se relance dans la bataille avec encore plus d’ardeur, serrées l’une contre l’autre pour se dévorer à pleine bouche. Je sens sa main se poser sur mon sexe à travers mon pantalon ; elle sait bien qu’elle est en train d’y mettre le feu, à mon trésor, la petite garce ! Fébrilement, elle entreprend de dégrafer mon jean et je pars à la renverse sur le ...
«12...567...10»