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Christine
Datte: 30/03/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio,
... pas à accéder aux autres imprimantes. Elle me répond que pas de souci. Je regarde : elle n’a pas pensé à vérifier la taille du fichier. 500 Mo viennent de se lancer sur l’imprimante n° 2, troisième étage ; ça va mettre un moment. Phase 2 : Je récupère un mail de panne de la veille et je le rediffuse à toute la boîte : « Imprimante n° 2 troisième étage en panne. » Phase 3 : Je file au troisième étage. Christine est là, dans le petit local repro, dans sa robe, à pester contre l’appareil en train de charger. Je rentre et je pose une chaise contre la porte. — Toi ! Sérieusement, tu crois pas que j’ai autre chose à faire que… Je l’interromps en l’attirant à moi et en collant ma bouche à la sienne. Elle essaye de se débattre mais ma main contre ses fesses la retient. Elle finit par ouvrir la bouche pour accepter ma langue et se laisser faire. Je la pelote à loisir pendant une bonne minute et je vois qu’elle jette un regard inquiet à la porte. — Personne ne viendra.— J’ai du boulot… On va…— Après. Je lui susurre dans l’oreille : — Et je suis prêt à avaler tout ce que tu veux. Je remonte mes doigts contre ses jambes et trouve le clitoris derrière le tissu de sa robe. — Tout ce que je veux ?— Et toi, tu serais prête à quoi pour me faire avaler tout ce que je veux ? Elle se mordille la lèvre. Déjà dur. Je baisse mon pantalon et je la soulève contre le mur. Elle pousse un petit cri de surprise. — On ne devrait pas, ici.— Non, on devrait pas. Un coup de ciseau et sa culotte finit dans ...
... ma poche. Je la soulève, la pose contre le bout de mon gland et la laisse redescendre tout doucement. — Ooooh ! Elle ouvre grand les yeux, fascinée par son sexe en train d’avaler le mien puis je la lâche subitement. — Rhaaa… Elle vient de s’empaler sur moi et laisse échapper un râle de satisfaction autant que de surprise et s’agrippe à moi pour ne pas tomber ; j’en profite pour la plaquer encore plus contre le mur. Je la fais sauter contre mon sexe et elle se retient de crier à chaque coup. Le haut de sa robe est maintenant tombé à hauteur de taille et je vois ses seins et son sautoir sautiller à chaque rebond. J’en gobe un. J’accentue ma pression contre ses fesses et mon majeur se retrouve à quelques millimètres de son anus. Elle se trémousse sur mon sexe, sentant les sensations monter. Je remonte ses genoux sur mes épaules. Elle est maintenant complètement coincée et complètement offerte. L’angle est parfait et la pénétration maximale. J’accélère. Elle se plaque les mains sur la bouche pour ne pas crier son orgasme, et moi j’éjacule tout ce que j’ai. Je ralentis pour reprendre mon souffle mais je suis toujours dur. Elle ne doit pas s’attendre à ce que la séance continue ; avec des yeux mi-apeurés mi-envieux, elle me regarde l’allonger sur l’imprimante et, ses genoux toujours sur mes épaules, je lui adresse un regard lubrique et je continue à la pilonner avec la même intensité. On se laisse tous les deux transporter pendant une longue minute puis je vois son clito gonflé par ...