Préambule
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
religion,
enceinte,
Oral
... passion pour la musique, le piano et Chopin qu’il lui avait fait renaître depuis des mois, une de ses mains s’aventura vers sa braguette dont elle défit un a un – mine de rien – les boutons de ses petits doigts agiles qui ensuite trouvèrent vite la fente latérale du slip et s’y engouffrèrent sans trembler pour y saisir une hampe qu’ils tirèrent à l’air libre… Le gentil musicien n’en pouvait plus, de sentir que la délicieuse petite dame sur le souvenir de laquelle il se branlait presque tous les jours était en train de le décalotter avec douceur ; mais le comble arriva quand, après lui avoir écarté doucement les cuisses, s’agenouillant devant lui, elle commença une fellation lente et profonde, destinée dans son esprit à elle à durer. Mais le pauvre garçon, dont c’était quasiment le dépucelage, ne put résister plus de quelques secondes à ce traitement et l’orgasme lui vint. Le spasme qu’elle sentit soudain ébranler son chéri du mois lui provoqua le réflexe de se redresser et de sortir le vit turgescent de sa bouche, et l’éjaculation du musicien vint en longues giclées dessiner comme des notes blanches sur la robe noire de la coquine élève ! Quelques secondes interloquée de cette si prompte explosion, elle fut prise ensuite d’un fou rire et se redressant et montrant sa robe toute mouchetée du foutre, elle eut peine entre crises de rire à dire : — Oh, monsieur Antoine, vous n’avez pas honte, ma robe toute neuve ! Vous me devez un pressing ! et, lui tournant le dos : allez, ...
... baissez-m’en le zip, que je l’enlève ! Elle dut insister pour qu’une main tremblante descendît le zip complètement jusqu’en haut de ses fesses. Elle se retourna et passant sa robe par-dessus sa tête se retrouva en combinaison noire mi-cuisses devant lui, qui rebandait déjà… Elle lui prit la main et, toujours mutine, le rassit et se lova les jambes en chien de fusil sur ses genoux tout en lui entourant de nouveau le cou de ses bras maintenant dénudés… — Mon gentil Monsieur A., J’ai un peu froid ainsi à moitié déshabillée et, en plus, c’est à cause de vous ! De fait c’est plutôt très chaude qu’elle était ! Et d’être en passe de séduire ce « p’tit jeune » mignon à croquer, elle sentait son entrejambe se liquéfier… Elle se hissa de quelques centimètres pour que leurs visages puissent se toucher, et elle plaqua alors sa bouche contre la sienne… Ce fut le déclic et le benêt disparut en un clin d’œil (et un coup de langue) pour laisser la place à un jeune mâle fougueux et conquérant. Il ne lui fut plus alors nécessaire de le stimuler, tellement son désir à lui prenait les rênes de l’aventure, et elle n’eut qu’à le guider de loin en loin, et même de proche en proche – en premier lieu vers le canapé, endroit plus favorable à l’épanouissement de leurs mutuels désirs. La vérité oblige à dire que sa délicate lingerie à elle souffrit passablement de ses ardeurs à lui, et que bien des phases de sondécarpillage à elle participèrent davantage de l’arrachage que de du glissement langoureux ! Tout ...