1. Préambule


    Datte: 14/07/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, religion, enceinte, Oral

    ... soir de temps en temps leur foyer pour aller arrondir leur porte-monnaie ! Il les payait bien et s’octroyait ainsi le droit de les baiser de toute sa vigueur en satisfaisant quelques-uns de ses fantasmes… Tout en lorgnant les filles, il se mit à bander ferme et se déboutonnant il déchira son slip de coton pour permettre à sa queue de s’épanouir. Il roulait, matait, et branlait maintenant sa tige qui, sans être monstrueuse, avait un beau diamètre et une longueur proportionnée à son mètre quatre-vingt-dix, ses cent-dix kilos et ses talents de troisième ligne de rugby. Il adorait ainsi se caresser doucement, le gland bien sûr décalotté, le chibre à la verticale. De temps en temps il se serrait la base de la bite pour se refroidir. Bref, il était en train de se tailler un bon moment, et il se demandait si une bonne fortune se présenterait, ou s’il allait être obligé de se finir avec la blonde qui draguait au fond de sa voiture au coin de l’avenue Foch et de la rue Paul Valéry ; elle n’était plus toute jeune mais était très « classe », avec une voix distinguée, et dans le parking souterrain, après qu’elle l’eut sucé il allait décharger dans son con, en écartant ses cuisses de fausse bourgeoise aux bas tendus par le porte-jarretelle. Alors ce soir, que serait-ce ? Elle : elle avait passé la soirée avec trois copines, sans homme présent, mais en fait toutes leurs conversations avaient tourné autour de leurs hommes, époux ou amant, et même fils. Au restaurant, elles avaient fait ...
    ... preuve de retenue et de distinction, mais vers minuit quand elles sortirent et qu’elles se retrouvèrent dans la tiédeur de la nuit et seules sur l’avenue, entre elles, sans témoin, elles se lâchèrent et les confidences se firent intimes, décomplexées et même salaces. La manière dont elles savaient les aguicher, leurs petites manies, les performances et les orgasmes simulés ou réels, tout y passa sans vergogne, sous l’effet des apéritifs et des deux bouteilles de vin qu’elles avaient éclusées. Si bien que, quand ses trois camarades se furent engouffrées dans un taxi, et qu’elle se retrouva seule avenue Victor Hugo à une heure et demie du matin, elle se sentait toute chaude, sous l’effet conjugué de l’alcool et de toutes les expériences coquines échangées pendant la soirée. Autant dire qu’elle aimait le sexe, d’autant plus que divorcée et vivant seule avec sa fille de quinze ans dont elle avait la garde, elle bénéficiait de peu de liberté. Jeune fille de bonne famille, elle n’avait connu l’amour qu’à vingt ans, sous les coups de boutoir de son professeur de droit de faculté qui l’avait quasiment violée, culbutée sur son bureau un soir, troussée aux hanches, le collant et la culotte « petit bateau » déchirés, et enfilée sans ménagement à fond d’une seule poussée en la dépucelant au passage ; mais il l’avait si bien ramonée pendant de longues minutes que ses douleurs de fille déflorée brutalement avaient fini par tourner en un orgasme de belle salope ! Commentaire : Le lecteur, aura ...
«1234...12»