1. Préambule


    Datte: 14/07/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, religion, enceinte, Oral

    ... en goûtant ses tentatives d’assauts maladroits, ses baisers passionnés, ses doigts qui essayaient de lui peloter la moindre parcelle de son corps qui passait à sa portée, elle parvint – non sans peine - à lui dénuder le torse et à baisser son pantalon et son caleçon aux genoux… Elle faisait semblant de résister, de gigoter et de se débattre, tout en émettant de petites interjections entrecoupées de rires mutins, pour retarder le moment où il l’enfilerait… Elle esquivait, se tournait quand il croyait pouvoir la posséder, et ses mains qui faisaient mine de le repousser se faisaient douces au dernier moment et la bourrade qu’elle simulait s’éternisait en une caresse qui les excitait encore plus. Elle minaudait : — Oh ! Monsieur A. ! Vous comporter de la sorte avec une de vos élèves ! Ou plus tard : — Vous n’avez pas honte ? Je pourrais être votre mère… Ou encore, tout en lui prenant en main la bite alors qu’il se croyait déjà la pénétrant : — Allez, soyons raisonnables, je vais vous soulager en vous caressant comme cela, et ensuite on se rajustera… Lui, plutôt malhabile, malgré sa passion et son désir de mâle en rut et bien excité, ne parvenait pas à ses fins, n’ayant pas l’adresse – et qui sait : l’envie ? – d’utiliser sa supériorité de force physique pour la faire plier. Alors, il entreprit une autre manœuvre, et se coulant sur le tapis, plongea son visage entre ses cuisses. Alors elle, privée de ce genre de caresses depuis tant de lustres, sentit ses sens la dominer et son ...
    ... désir prendre le pas sur sa volonté de faire durer, et elle s’abandonna toute. Il fit alors preuve de beaucoup de talent, du nez fourrageant sa toison tellement abondante, d’un noir de jais, drue et frisée, tandis que ses lèvres et sa langue agaçaient le clitoris et fouissaient son vagin. Elle ne fut pas longue à prendre son envol, sous l’effet conjugué du cunnilingus et des souvenirs de son « maître » de faculté qui lui avait souvent pratiqué ce genre de caresses pour l’amener à la jouissance suprême. Ses soupirs devinrent halètements, ceux-ci se rythmèrent, et puis soudain se transformèrent en un feulement continu, ses reins se cambrèrent, tout son corps s’arqua, et l’orgasme la prit, la laissant ensuite pantelante de longues secondes… Lui semblait abasourdi, apparemment ignorant de ce qui venait de se produire… Quand elle reprit ses esprits, elle le vit immobile, la regardant fixement, quasiment apeuré… Elle l’attira sur elle, lui prit la tête dans ses mains, et lui murmura : — Mon ami, vous venez de me faire jouir comme j’ai rarement joui dans ma vie, et encore il y a longtemps ! Mais ne le dites à personne, hein ? Très petit garçon, il acquiesça… Reprenant alors l’initiative elle se dégagea de dessous lui, se redressa et le fit assoir bien calé contre le dos du canapé, puis s’agenouillant à même le tapis entre ses jambes qu’elle écarta doucement, et entreprit une fellation lente et douce. Elle le fit rebander bien vite et il se mit alors à accompagner ses mouvements de ...