Préambule
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
religion,
enceinte,
Oral
... maculaient, tellement le docte juriste raffolait d’arroser son élève de son foutre abondant et gluant ! C’est ainsi qu’au bout de quelques mois passés plusieurs soirs par semaine cuisses largement écartées pour laisser le champ libre à un chibre conquérant, sa vie changea du tout au tout quand, après avoir renoncé à ces parties aussi torrides que fréquentes, elle tomba dans les bras d’un mari dont le coït le plus lent durait quarante secondes, et ce, sans aucun souci pour la satisfaction de son épouse. Elle sombra alors dans une sorte de dépression sexuelle, et n’eut plus que de pauvres plaisirs solitaires les après-midi de solitude. Il ne lui vint tout d’abord pas à l’esprit de prendre un amant, péché dont elle eût dû alors s’accuser au bon curé de la paroisse familiale d’Auteuil, lequel l’avait déjà passablement morigénée quand elle avait commencé à lui raconter jadis ses cours du soir. Ledit curé l’avait alors très habilement questionnée et il avait fallu qu’elle lui avouât la multitude de détails qui parsemaient les expériences que lui faisait découvrir le savant juriste. Elle avait pris alors pour de simples encouragements paternels et bienveillants les mains du saint homme qui s’égaraient sur son bras, son épaule, ou sa nuque. De même, durant son mariage, quand elle dut confesser les caresses solitaires auxquelles la forçait l’insuffisance des assauts de son mari, elle ne prit pas ombrage que le bon père approchât tellement son visage du sien, à la toucher presque, ...
... tandis que son bras entourait parfois presque sa taille. Tellement élevée dans la religion, pour laquelle le fait d’être prêtre confère une nature totalement à part et quasi « supranaturelle », elle ne pouvait s’imaginer que les regards qui semblaient plonger parfois dans ses décolletés, ou les mains qui s’égaraient par moment subrepticement sur une de ses hanches, pendant que l’abbé pontifiait sur la vertu nécessaire au salut de l’âme, tout cela n’était en fait qu’hypocrisie face à la plus basse concupiscence du prêtre qui, de fait, rêvait de besogner comme un fou sa pénitente dont il eût préalablement troussé la jupe à la taille, dénudé la chatte de sa minuscule dentelle à peine protectrice, pour enfin l’enfiler sans ménagement tel un hussard napoléonien une pucelle andalouse, tellement la frustration abolit toute délicatesse chez le mâle en manque ! Quand elle fut enceinte, le saint homme la questionnant sur ses sensations nouvelles, elle lui raconta les émotions que lui causaient les mouvements du petit en elle. Il lui demanda alors la faveur, compte tenu de leur « vieille amitié », de toucher son ventre pour sentir « la nouvelle vie qui allait bientôt surgir », et, grande naïve, elle n’eut pas le moindre doute, et laissa le diable d’abbé lui prendre d’une main la taille tandis que de son autre il se mettait à la peloter sans vergogne, certes en murmurant de doctes et pieuses pensées du genre « que c’est magnifique cette vie qui pointe » ou « que Dieu est grand dans sa ...