Préambule
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
religion,
enceinte,
Oral
... Elle ne se rendait pas compte que beaucoup d’hommes la trouvaient bien à leur goût. Plus une jeunette, la silhouette épanouie, une poitrine avantageuse, un minois à la fois sage et mignon, plus d’un rêvait de se la lutiner, la petite dame ! C’est le temps où elle se remit au piano, seule d’abord, puis on lui indiqua un jeune pianiste qui donnait des cours particuliers. Elle reprit un de ses amours d’adolescente, Chopin. Lui en était spécialiste, avait participé aux éliminatoires du concours de Varsovie. Et ensemble ils se passionnèrent, elle étudiant partitions et ouvrages, et essayant d’interpréter tant bien que mal valses, nocturnes, préludes et études, lui l’encourageant, jouant seul pour elle, et essayant de la faire progresser. Elle ne s’aperçut pas tout de suite qu’une passion naissait entre eux, tout au moins de son côté à elle. C’est une nuit qu’elle en prit conscience, quand elle se rendit compte, après qu’elle se fut provoqué un bon orgasme avec son gode, que le côté cérébral de son plaisir avait été stimulé par des pensées amoureuses, coquines et même salaces qui l’avaient occupée pendant sa montée d’adrénaline, toutes centrées sur son cher « prof de piano » ! Elle en fut d’abord assez décontenancée, n’ayant pratiquement jamais été réellement amoureuse. Elle comprit qu’elle était pincée, et que cet attachement était aussi physique – sexuel – qu’intellectuel – eu égard à l’intérêt qu’ils prenaient ensemble à Chopin. Très vite ses fantasmes se dessinèrent plus ...
... nettement, et elle s’imaginait lutinée par le tellement attachant tout jeune professeur. Il avait vingt-deux ans, elle en avait maintenant trente-sept… Quand elle le revit la semaine suivante, elle le regarda bien sûr différemment. Il n’était pas vraiment beau, mais tellement séduisant par l’engouement qu’il mettait dans sa passion et son art. Chercha-t-elle alors à le séduire d’entrée ? Elle ne le sut pas immédiatement. Mais en quelques semaines le charme opéra ; elle se mit à le désirer, à désirer le séduire, à désirer qu’il la désire. Elle ne se fit pas chatte d’autorité et immédiatement. Mais des regards mutuels s’échangèrent, d’abord furtifs, à la dérobée. Leurs mains se touchaient subrepticement, alors qu’avant elles se mêlaient sans arrière-pensée, maintenant elles cherchaient manifestement à s’éviter pour en réalité se trouver davantage. Lors de ces contacts, elle sentait les poils de ses bras nus se hérisser, et un jour elle vit distinctement ses poils à lui se dresser quand leurs mains se touchèrent… Elle se fit coquette, voire un soupçon sexy, s’appliqua même à être provocante par une partie seulement de son apparence, tantôt des lèvres au rouge sang et dessinées en cœur, tantôt un corsage très ouvert sur un soutif pigeonnant, tantôt une jupe bien courte pour son âge et encore nonchalamment troussée un peu haut sur le tabouret de piano. S’aperçut-il, lui, de ses avances discrètes ? Elle avait parfois l’impression qu’il baissait ou détournait les yeux, ou au contraire ...