Préambule
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
religion,
enceinte,
Oral
... au moins lui permit-elle de supporter mieux sa solitude sexuelle. Car sans se refuser à son mari, elle ne manifestait maintenant plus aucun intérêt à leurs rapports, plus que brefs et espacés. Elle continuait la masturbation et s’octroyait ainsi de pâles orgasmes qui lui donnaient l’impression d’être encore sexuée. Elle ne fantasmait guère et ne remarquait que peu les regards qui la dévisageaient plus ou moins effrontément, comme elle s’agaçait des mains qui trainaient sur ses fesses dans le bus qu’elle prenait parfois à des heures d’affluence. Puis sa fille grandit, maternelle puis CP, elle n’était plus avec elle en permanence, et la voyait même un peu s’éloigner. Si moralement elle acceptait bien ce changement, sachant bien que, d’ici une petite vingtaine d’années, sa fille lui aurait complètement échappé, elle se retrouva bientôt de nouveau « physiquement » seule. Ses branlettes solitaires se multiplièrent, d’autant plus qu’elle se retrouvait plus souvent solitaire, sa fille à l’école. Les coïts de son homme étaient toujours aussi fades. Après avoir essayé quelques ersatz, notamment le fameux manche du « chinois » autrefois déjà mis à contribution, elle finit par se procurer un godemichet par l’intermédiaire d’une amie. Ses relations de tout ordre avec son mari se dégradaient ; elle s’ouvrit à lui sur ses désirs, mais peine perdue, il l’envoya promener… Un soir qu’il venait en quelques dizaines de secondes de se vider les couilles au fond de son con, elle se branla sans ...
... vergogne devant lui qui avait repris un rapport à étudier ; elle ne feignit rien et parvint à un orgasme réel. Lui, piqua son fard, mais ne fit aucun commentaire. Un autre jour elle sortit en sa présence carrément son gode et se mit à s’astiquer avec frénésie devant son « seigneur et maître ». Se procurer du plaisir en sa présence augmenta encore sa jouissance. Mais lui ne comprit rien, il aurait pourtant suffi qu’il lui portât quelque attention et se mît à la ramoner avec plus d’attention et de lenteur pour que tout basculât. Mais il manqua le coche et, de fil en aiguille, l’envie lui vint à elle d’autre chose. Après tout, ce n’était pas que de sa faute à elle, et même, avait-elle de véritables torts ? Elle en vint à fantasmer sur des hommes sans visage, puis sur des inconnus croisés dans la rue, et puis sur des têtes familières. Particulièrement sur le mari d’une de ses amies avec qui elle échangeait sur sa vie sexuelle, si pauvre soit-elle. Un jour, elle s’en ouvrit même à son amie de l’envie encore diaphane que lui causait la vue de son compagnon. L’amie, d’abord interloquée, éclata de rire « Comment ? Tu fantasmes sur Marc ? Mais tu es folle, c’est mon mec à moi, et je ne le prête pas ! » Elles s’entendirent là-dessus, et l’incident fut clos. Elle atteignait maintenant la « trente-cinquaine ». Sa fille était en primaire, son mari toujours distant… Elle prit un boulot de bibliothécaire à mi-temps, rayon scolaire-universitaire, où ses études supérieures lui servaient bien. ...