La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°938)
Datte: 18/06/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°937) – A la suite de ce déjeuner succulent, il faut l’avouer, n’ayant pas eu droit à la bouillie des soumis mais au même et succulent repas que le Châtelain. Repas coupé en morceau pour que je puisse l’ingérer dans ma position de chienne. Puis le Maître me reconduisit dans mon Cachot, m’intimant l’ordre de me reposer jusqu’au lendemain matin, et cette fois-ci, je n’eus aucun mal à m’endormir… et, de plus est, si heureuse … ! Chaque Cachot possédait une lucarne en soupirail donnant sur l’extérieur. Lorsque je me réveillais, la nuit était tombée. J’avais donc dormi longtemps, même s’il me restait encore quelques heures avant qu’on ne vienne me chercher. D’un coup, les nuages qui peuplaient le ciel s’écartèrent, laissant apparaître une magnifique pleine lune, dont la lumière tomba sur moi. J’eus l’envie irrépressible de me prosterner, en pensées devant le Maître, ne le pouvant pas, je le fis devant la lune, et je laissais couler mes larmes. Ce week-end avait été très intense, remplis d’épreuves, d’émotions, et de la plus belle récompense ! Après être restée ainsi un long moment, remerciant la Destinée qui m’avait menée jusqu’ici, remerciant de toutes la force de mon âme, Monsieur le Marquis, espérant qu’elle serait assez forte pour pénétrer Ses songes pour qu’Il puisse m’entendre, je décidais de me recoucher, en chien de fusil, et étrangement, je me rendormis très facilement… Cette nuit-là fut peuplée de rêves érotiques de ...
... soumission tous autant intenses les uns que les autres … Les jours passèrent, se ressemblant, mais sans jamais être banals, sans jamais être monotones. Le matin, Walter venait me chercher avec mes sœurs de soumission. Nous prenions notre douche, puis il nous amenait aux cuisines pour le repas des soumis sous les ordres sévères de Marie la cuisinière. Ensuite, nous étions chacun affectées à des corvées, jusqu’à l’heure de retrouver le Maître pour la partie « professionnelle », souvent entrecoupée par Ses exigences, d’une nature ou d’une autre. Puis à la fin de la journée, entre corvées et dressage, et le retour au Cachot… Jusqu’au jour où le Châtelain organisa une réunion de travail qui semblait de la plus haute importance. Il voulait connaître la faisabilité d’un projet : La rénovation d’une aile du Château qui ne servait plus depuis longtemps. Il donna quelques précisions sur le type de matériaux qu’Il voulait, sur les délais, la nature même du projet n’avait pas été révélée pour l’heure à nos petites personnes mais à voir les personnes présentes, nulle doute qu’il s’agissait d’un objectif pharaonique ! Il y avait, en effet, des banquiers, des financiers, des architectes et des corps de métiers du bâtiment et de décorations intérieures (tapissier, restaurateur du patrimoine ancien, peintre de fresques, etc…) Donc sans encore dire ce qu’Il ferait de cette immense espace, il nous parla plus du financement, du budget à investir, ce qui me donnait le tournis aux vertigineux chiffres ...