La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°938)
Datte: 18/06/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... comme anesthésiée, et tellement surexcitée que je l’aurai presque réclamée ! Je me laissais totalement allée à la morsure du fouet. J’avais perdu la notion du temps. Il me détacha et me mit en position prosternée, mais au lieu d’avoir les bras tendus en avant, il me les mit en croix. Et il continua à jouer de son instrument. Et enfin, il me fit mettre sur le dos, jambes repliées et écartées. À part quand j’étais attachée à la poutre, il ne m’attacha plus, m’intimant juste l’ordre de ne bouger sous aucun prétexte. Quand il eut fini, il me releva doucement, ne me laissant pas la possibilité de me mettre à genoux, il me tira vers le haut pour que je reste debout. Il m’entraina vers un coin de la pièce et ouvrit un pan en bois, à l’intérieur duquel se trouvait un trépied de miroirs. Il les plaça de telle manière que je pus me regarder sous tous les angles. Et je dois avouer que mon corps était magnifique ! Monsieur Whip capta mon regard dans un des miroirs, et je ne pus m’empêcher de verser quelques larmes. Ses mains ne me maintenant plus, je me laissais glisser au sol, à genoux, tête baissée, pour le remercier. - Ce travail est aussi endurant pour le Maître qui s’y emploie que pour la soumise qui subit. Viens, suis-moi ! Et alors que je me plaçais en quadrupédie, une nouvelle fois, il me releva et me prit par la main pour me conduire au travers des couloirs du Château, jusqu’aux chambres. Il en ouvrit une, la sienne car il venait de loin, et nous entrâmes. J’étais toujours ...
... nue. Il me conduisit jusqu’au lit. - Après une telle séance de marquage, j’aime faire l’amour à la soumise qui s’est donné à mon fouet ! Encore sous les effets excitants des coups préliminaires que j’avais reçu, toujours ce sentiment d’hypnose, de l’existence d’un lien entre nous, il fit ce qu’il avait dit. Je crois bien que je n’avais jamais ressenti autant de douceurs, de tendresse, avec un inconnu. Jamais je n’avais ressenti quelque chose d’aussi intense du temps où j’étais mariée. Seules les relations avec le Maître, quand il voulait me récompenser, étaient supérieures à ce que j’étais en train de vivre. Nos ébats durèrent une grande heure. J’étais émerveillée par le pouvoir de ce Maître du fouet… Je ne pensais pas pouvoir aimer et désirer des coups de fouet. Je venais de vivre une expérience véritablement exceptionnelle ! Il sortit du lit et se tint près de moi - Bien, maintenant que j’ai eu la femme, je veux revoir la chienne. Alors sors de ce lit, qui n’est en aucun cas ta place, et place toi à quatre pattes à mes côtés. Après que j’eus obéi, il saisit ma laisse qu’il avait enlevé avant que nous nous accouplions en de torrides ébats, et la replaça sur mon collier. Puis donnant une impulsion sur celle-ci, il me ramena, nue dans la salle de réunion. Visiblement, je n’avais pas été la seule à avoir dû satisfaire un Dominant présent à la réunion. Il y avait quelques personnes habillées, et plusieurs nues comme des vers. Un Dominant frappa dans ses mains afin d’attirer ...