1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°938)


    Datte: 18/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... annoncés à investir dans son projet. Puis, il annonça à tout Son personnel qu’Il allait partir en voyage, sans savoir le temps que cela durerait, ni s’Il partait seul ou non. Clôturant cette réunion pleine de mystères, Il sortit, nous laissant travailler. Avec ma spécialisation en comptabilité, je devais m’occuper de tout le côté financier. Parmi ceux qui se trouvaient là, il y avait aussi, comme moi, des soumis ayant une spécialité pouvant être utile, comme charpentier, carreleur, marbrier, …, des employés normaux, mais connaissant le mode de vie du Marquis, et ce que je ne pouvais me douter, c’était que parmi eux il y avait des personnes soumises mais également Dominantes, dont le chef de projet, Monsieur Whip. Celui-ci portait bien son nom car il maniait à la perfection le fouet. Le téléphone de plusieurs d’entre nous, tous soumis sous le joug du Châtelain, sonna, nous indiquant que nous devions travailler, mais avant tout satisfaire les personnes Dominantes présentes, quelque soit ce qui nous serait exigé. Monsieur Whip m’appela, et me demanda de le suivre dans une pièce attenante. Il m’ordonna d’enlever les vêtements que je portais, pour l’occasion de la réunion professionnelle, suite aux exigences du Maître. - Bien petite chienne ! Tous ceux qui sont entrés dans un des Cachots de ce Château sont passés sous mon fouet. Monsieur Le Marquis est un ami avec qui je travaille depuis longtemps, et Il aime visiblement les dessins que je laisse sur la peau de Ses femelles. ...
    ... Alors je vais te faire prendre les positions que j’exigerai, et je veux que tu te taises ! Je ne veux pas entendre le moindre son de ta part. Il commença par m’attacher les bras à un anneau accroché à une poutre du plafond, mes pieds touchaient à peine le sol. Je me préparais déjà à ressentir une vive douleur lorsque je le vis armer son bras. Mais à ma grande surprise, les coups étaient légers et ne marquaient pas. En fait, ils étaient très excitants. Monsieur Whip tournait autour de moi, et aucune parcelle de mon corps n’était épargnée. Il avait une manière de manier son instrument qui commençait à me rendre folle, folle d’excitation, folle de désir. Je mourrai d’envie de le supplier de me prendre. Je tenais à peine sur la pointe de mes pieds, mais j’arrivais pourtant à bouger mon bassin, à « danser » pour essayer de l’appeler à me baiser. Quand il revint en face de moi, il s’interrompit, me regarda dans les yeux tout en glissant ses doigts entre mes cuisses. - Humm, bien, tu es trempée ! Lèche mes doigts, nettoie les biens, et ne me quitte pas des yeux ! J’obéissais. J’avais l’impression qu’un lien commençait à se tisser entre nous, mais je n’aurai pas su le définir. J’étais comme hypnotisée. Monsieur Whip s’éloigna et arma de nouveau son bras, après m’avoir embrassée langoureusement, je dirai même embrasée ! Et le fouet recommença à tomber, beaucoup plus sec, cinglant, et véritablement marquant. Mais la douleur ne m’impactait pas tant que ça, les coups préliminaires m’avaient ...