1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°938)


    Datte: 18/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... l’attention de tous ceux présents. - Bien, maintenant que cette longue « récréation » est terminée, remettons-nous au travail. Notre Hôte attend des résultats rapides. soumise Aphrodite MDE, de ton côté, c’est la partie financière qui t’incombe. Retourne donc dans le bureau qui est mis à ta disposition, et prépare la situation financière actuelle. Nous te transmettrons les devis, et tout ce qu’il te faudra pour que tu puisses indiquer à Monsieur le Marquis la faisabilité du projet financier. Tu repars évidemment à quatre pattes, sans vêtements ! Je saluais les personnes présentes. Un homme, dominant au vu de ses vêtements, m’ouvrit la porte et me claqua les fesses lorsque je passais devant lui. Je frappais à la porte du bureau du Maître. Sur Son injonction d’entrée, je poussais la porte et allais me prosterner au centre de la pièce. - Eh bien, eh bien ! Tu m’as l’air bien « dessinée » ! Lève-toi et tourne sur toi-même, tête baissée, afin que je regarde l’œuvre de mon ami. Il m’observa longuement. Les marques du fouet avaient perdu toutes leurs boursoufflures, et les marques étaient bien visibles. - C’est vraiment magnifique ! Avant que ces traces ne disparaissent, tu vas me suivre dans le petit salon, qui est bien éclairé. Un photographe attend pour immortaliser ces dessins, et j’en suis sûr, les émotions fortes que tu auras ressenti entre les mains de mon ami. Le photographe me fit prendre plusieurs poses. Il était exigeant, et à son ton, je me demandais s’il n’était pas ...
    ... également Dominant. Le Maître s’était assis dans un fauteuil confortable dans un coin de la pièce. Je sentais Son regard posé sur moi, et j’avais du mal à me concentrer sur les directives du photographe. Quand il s’arrêta de me mitrailler et commença à ranger ses accessoires, le Châtelain se leva et s’adressa à lui. - Mon ami, je vous laisse ma chienne pour vous remercier. Faites-en ce que vous voulez ! Et il partit. Le photographe ne fit aucunement attention à moi le temps qu’il rangeait. Je m’étais mise en position d’attente, à genoux, près du canapé où il avait pris quelques clichés. Quand il eut fini, il s’éloigna le plus loin possible de la pièce, et m’ordonna de le rejoindre en rampant. Je m’exécutais, essayant de rendre ma démarche reptilienne aussi gracieuse que possible, mais c’était un exercice que je n’avais encore jamais pratiqué. Et visiblement je ne devais pas réussir à faire ce que je voulais, car les rires moqueurs de l’homme m’accompagnèrent jusqu’à ce que je sois à ses pieds. - Bien, je dirais à Monsieur le Marquis que Sa chienne a besoin d’un sérieux entrainement ! Maintenant à genoux, et occupe-toi de ma queue, qui commence à se sentir à l’étroit ! Je me mis à genoux, et je commençais à défaire la ceinture de son pantalon, ouvrit le bouton, et j’allais descendre avec mes doigts sa fermeture éclair, quand il m’arrêta. - Non, pas avec les doigts, avec les dents ! J’obéis donc, et poursuivis jusqu’à ce que son sexe soit libéré. Je m’employais alors à lui faire ...