1. Un, deux, trois !


    Datte: 18/06/2017, Catégories: fh, cocus, copains, vacances, hotel, dispute, Oral 69, pénétratio, fsodo, confession,

    ... ce que je vous demande. Ni à toi, Arnaud. Ni à toi, Séverine.— Je ne comprends pas… questionne mon ami.— C’est simple, on ne change rien.— Mais il vient de te dire que la tentation sera trop forte ! insiste ma femme.— Alors, cédez à la tentation.— Tu veux dire…— Oui, couchez si vous avez envie.— Oh, mais ce serait mal… Tu sais, maintenant.— Les mormons ont bien plusieurs femmes ; les musulmans le peuvent. Combien de conjoints trompent l’autre ? Combien de couples s’échangent ? Combien de maris aiment voir leur femme avec un autre ? Combien de clubs où tout est autorisé ? Le monde change. Les réseaux sociaux. Les rencontres d’une fois avec ces applications qui vous trouvent un partenaire dans un rayon de 100 mètres. Les femmes deviennent des prédatrices… Un silence ponctue cette énumération de pratiques permises par cette nouvelle religion où la libération des mœurs est le premier précepte. Mon ami me regarde fixement, cherchant la raison de ce virement. Séverine aussi. — Tu penses à Suzanne ? me questionne soudainement Arnaud. « Si je pense à Suzanne ? Souvent mes pensées vont vers elle, nostalgie de ma jeunesse. Alors oui, il a raison : Suzanne est le parfait exemple. » — Oui.— Suzanne ? Toute notre Suzanne ?— Pourquoi pas ?— Mais… Séverine le coupe : — Qui est cette Suzanne ? Je ne réponds pas. Elle insiste : — Arnaud, qui est cette Suzanne que vous connaissez manifestement tous les deux ? Un regard vers moi ; je cille des yeux en signe d’accord. — Après notre bac, nos ...
    ... parents nous ont envoyés à la campagne, dans une ferme pour une sorte de découverte du travail manuel. Le chef d’exploitation était une femme, Suzanne, veuve, et on peut dire "maîtresse femme" dans tous les sens du terme. Elle avait une vision très libre de la sexualité, et de gros besoins. Elle a commencé par me mettre dans son lit, et puis cela a été le tour de Pascal. Elle nous a initiés, y compris à des jeux à trois.— Mais c’est du détournement de mineurs !— On avait 18 ans et perdu notre virginité depuis longtemps. Plutôt une cougar avant l’âge.— Tu ne m’en as jamais parlé, me fait remarquer Séverine.— Ni à toi ni à personne. On a gardé le secret. C’était trop intime. Même entre nous on n’en a jamais reparlé.— Alors pourquoi ce soir ? demande Séverine Elle se rend aussitôt compte de ce que sa remarque lui fait imaginer, mais elle continue : — Pascal, tu n’envisages pas… Arnaud, voyons… Jamais je ne pourrais…— Pourtant, d’une certaine façon c’est ce que nous avons fait cette nuit.— Mais ce n’est pas la même chose. Tu… enfin, je veux dire, tu étais censé dormir.— Oui, et tu étais excitée à l’idée que j’étais à côté.— Euh… c’est vrai, mais tu dormais et c’était dans le noir.— Ma chérie, si c’est le seul point qui te gêne, alors c’est facile… Et tendant le bras, atteignant le régulateur d’éclairage, je mets la puissance à 0. De la lumière, nous voici dans le noir. Le temps de la décroissance, je vois Séverine se tourner vers moi, interrogative. — Pour me faire pardonner cette ...
«12...91011...14»