1. Un, deux, trois !


    Datte: 18/06/2017, Catégories: fh, cocus, copains, vacances, hotel, dispute, Oral 69, pénétratio, fsodo, confession,

    ... jalousie idiote et surtout cette colère ridicule, je me disais qu’on pourrait tirer un trait sur cette nuit et ce qui a suivi.— Qu’est-ce que tu veux dire ? me demande Séverine dont j’imagine le visage tourné vers moi.— C’est simple. On fait comme si… Je dors… Arnaud sort de la salle de bain et s’allonge à ton côté… J’attends un "non", et je comprendrais ; mais je n’entends qu’une respiration. Et c’est Arnaud qui parle : — Moi, je suis d’accord… si Séverine veut bien. Elle ne parle pas. Pas plus de "oui" que de "non". Mais qui ne dit mot consent, surtout lorsque la parole est difficile et que de reconnaître que peut-être… éventuellement… on pourrait envisager… Je sens le matelas bouger. Je sens le contact de Séverine qui, manifestement, fait de la place pour que son amant se couche. Et puis plus rien. Enfin, presque rien, si ce n’est qu’il me semble que ma femme s’est tournée et me présente son dos. Je n’ose bouger. J’ai peur que, par un geste, un souffle, une parole je perturbe ce qui doit se passer juste à côté. On est loin de la courtisane, sûre d’elle, entreprenante alors qu’elle me pensait dormir. Elle me sait à côté, et évidemment que je ne dors pas ! Qui dormirait dans ce cas ? Pourtant l’air paraît plus lourd. Des respirations plus fortes, plus rapides, de faibles oscillations du matelas, tout me fait penser que les amants se retrouvent. Ils se retrouvent non pas comme la courtisane honorait son maître, mais probablement tout en douceur. Une main qui flatte un sein. ...
    ... Une autre qui prend conscience d’une verge bien tendue. Un doigt, peut-être deux, qui se glissent dans une fente qu’ils découvrent humide. Il est probable que ma présence, cachée par une obscurité qui finalement n’est pas parfaite, perturbe leur libido. Il est vrai que les diodes de nos réveils finissent par transformer un noir complet en une pénombre remplie d’ombres. Je vois le dos de ma femme. Je devine les fesses et la couette repoussée. Tout le reste n’est qu’imagination. Quelques secondes qui durent une éternité. Je retiens mon souffle pour qu’ils s’isolent dans leur fantasme. Un soupir me fait penser qu’une caresse atteint son but. Puis un autre. Un souffle plus court. Une vibration de la couche. Et puis tout s’accélère, s’amplifie. Ma femme me touche. Elle s’est tournée. Je recule, toujours de peur de rompre la magie qui s’installe. La pénombre me la fait deviner allongée. Allongée avec une ombre qui la domine. Le "Ohhh" est timide, mais si parlant ! Arnaud doit la posséder. La couche respire au rythme de mouvements que je sais caractéristiques. La queue est entrée et s’active. Arnaud baise ma femme. Elle m’a oublié. Elle ne se retient plus, et si elle ne crie pas, chacun de ses soupirs est une ode à l’amour. Même Arnaud se laisse aller. Je l’entends ahaner de ses avancées. J’ose maintenant avancer une main. Je ne risque plus de les perturber, ils sont partis. Séverine se laisse labourer par la bite de son amant, de mon ami. Je trouve un sein tiède, lisse, gonflé de ...
«12...101112...»