Un, deux, trois !
Datte: 18/06/2017,
Catégories:
fh,
cocus,
copains,
vacances,
hotel,
dispute,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
confession,
... plaisir. Le téton est la signature, érigé comme il sait le devenir par des caresses. Je le titille, je l’excite, je le torture un peu. Séverine sait-elle que c’est ma main ? Je deviens plus audacieux. Je me colle contre elle. Je suis bien à ses côtés, moi, son mari qui ne dort pas. Mes lèvres trouvent la tiédeur de son cou. J’y dépose des baisers. Elle ne se refuse pas ; au contraire, j’ai l’impression qu’elle recherche le contact. J’ose, oui j’ose lui susurrer à l’oreille : — C’est bon, chérie ? La réponse est la meilleure récompense. Le plus efficace des aphrodisiaques. Un « oui » si faible, littéralement expulsé de sa gorge dans un souffle de plaisir. Collé contre elle, je ressens les assauts de son amant. Arnaud ne se retient plus. Je devine sa silhouette qui domine ma femme, une silhouette informe, mais si mouvante. Je m’enhardis. La pénombre est excitante, mais j’aimerais mieux. La voir prise par son amant. Le voir, lui, Arnaud, ami et complice. — Chérie, je voudrais te regarder. Laisse-moi mettre un peu de lumière.— Non, s’il te plaît… non.— Regarde comme je suis excité. Et je guide sa main vers ma verge dure, bâton impatient, mais solitaire. Elle ne peut que ressentir la vérité de mon excitation. — Juste un peu… Le matelas est maintenant une mer déchaînée. Séverine gémit sous les assauts. Ses reins s’enfoncent dans la souplesse du latex, propulsés par la bite de son amant. — S’il te plaît… Un gémissement. Puis un autre. — Juste un peu… Une seconde je crois avoir ...
... rêvé, mais elle précise : — Pas trop fort. Le variostat donne une ambiance de veillée funèbre ; mais ce n’est pas un lit mortuaire. Au contraire, un lit de vie, d’amour, de plaisir. Le premier que je vois, c’est Arnaud qui domine ma femme, tout en muscles, en appui sur ses bras, les reins transformés en pilon qui façonnent la fente de ma femme avec une bite de bronze. Nos regards se croisent. En un instant je nous revois 26 années en arrière, à la ferme, travaillant la fermière avec un piston de 18 ans. Il me fait un clin d’œil. Ce n’est plus un amant qui baise une femme devant son mari : c’est un complice, un complice comme nous l’étions avec Suzanne. Ma femme qui sent sa jouissance monter étreint ma bite dans l’étau de sa main. Son corps vibre de plaisir. Le peu de lumière me laisse toutefois voyeur de son plaisir, de son visage qui grimace, de ses yeux qui se révulsent, vite cachés sous ses paupières. Arnaud aussi vient. J’imagine son foutre jaillir pour inonder la grotte en jets puissants et répétés. Que c’est beau, un couple qui jouit ! J’avais oublié combien j’aimais voir Suzanne et mon ami se transcender par la jouissance. Séverine est notre Suzanne d’aujourd’hui. Quelques secondes avant qu’Arnaud ne se retire. À l’époque, la fente de la fermière laissait suinter une partie de la liqueur. Il fait trop sombre pour regarder, et ce serait indécent. Pourtant à l’époque j’aimais cette vision. Je l’aimais, car je savais que mon tour viendrait. Une ombre s’éloigne. La porte de la ...