1. Un, deux, trois !


    Datte: 18/06/2017, Catégories: fh, cocus, copains, vacances, hotel, dispute, Oral 69, pénétratio, fsodo, confession,

    ... salle de bain laisse un instant passer la lumière. Une lumière qui passe entre les cuisses repliées de Séverine, encore ouvertes pour laisser la place à son amant. La vision est fugitive, mais si parlante… Je ne peux retenir ma main de se glisser sur le ventre, le pubis, pour aller y découvrir ce qu’Arnaud a déposé. Le clitoris est encore érigé, la fente gluante. Alors je décide de prendre ma part. Je bouge, trouve le chemin des cuisses encore ouvertes, y guide ma queue pour pointer au centre du monde. — Pascal… qu’est-ce que tu fais ? Je suis toute… « Oui, chérie, je sais que tu es grasse, souillée par le sperme de ton amant, mais dans mes souvenirs c’était si… » pensé-je. — Ahhhhh… Je suis entré d’un coup de reins. Elle est ouverte, gluante, dégoulinante, mais c’est si bon ! Suzanne nous demandait de la prendre ainsi, jamais satisfaite, se faisant mettre par l’un, puis l’autre le temps que nos forces reviennent.« Ah, Suzanne… » C’est Suzanne que je bourre maintenant. Le visage de celle que je baise est rendu assez informe par la pénombre pour l’habiller des traits de cette initiatrice. Elle nous a tout montré, tout appris. Je souhaite à chaque ado de trouver sur son chemin une femme comme elle : le net lui paraîtrait bien triste. Il saurait comment tenir longtemps, apporter du plaisir à sa maîtresse, connaître son propre corps, explorer des plaisirs particuliers. — Tourne-toi ! j’ordonne à ma femme. La levrette, position à la fois dominante pour l’homme, mais qui apporte ...
    ... des sensations particulières à la femme. J’agrippe les hanches généreuses de Séverine et je la possède avec une envie que j’avais oubliée. Même Arnaud, depuis la salle de bain, doit entendre le claquement de nos chairs ; et je ne parle pas des gémissements de celle que je laboure. Le floc-floc si obscène de ma bite qui brasse le foutre est, lui, plus intime. Intime et abject. Quel homme aimerait nager dans le foutre d’un amant ? Et pourtant… — C’est bon, hein ? je demande dans une expiration à la femelle que je baise. Cela aussi, Suzanne nous l’a appris. Parler, questionner, exprimer, même avec des mots crus, participe au plaisir. Séverine n’est donc pas étonnée de ma question. — Oui, oui. C’est bon…— Tu as aimé avec Arnaud ? À peine une hésitation : — Oui.— Tu étais excitée de me savoir à côté ?— Pas au début… ohhh… Mais après… ohhh… Oui.— Et maintenant ?— C’est terriblement pervers, que tu me… ohhh… prenne… ohhh… après lui !— Oui, et la prochaine fois il restera pour nous regarder.— Oui, si tu veux.— Et nous garderons la lumière.— Oui… ohhh… tout ce que tu veux… ohhh… Continue ! L’écriture ne peut pas traduire toutes les nuances de nos voix, surtout de Séverine qui respire au rythme de mes avancées. C’est un délice. Et si j’avais un doute sur ce que j’ai décidé après cette journée si particulière, alors il est levé. Notre vie a changé en moins de 24 heures. Hier, à la même heure, dans la chambre où nous partagions le même lit, ma femme, courtisane vicieuse, terminait celui ...