Elle, la femme de ma vie (2)
Datte: 09/04/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... une attention, de la tendresse. Moi, je n’avais qu’une idée en tête : lui prendre sa bouche, l’embrasser à perdre haleine… et la culbuter pour mon plaisir. Si je n’en fis rien, ce fut au prix d’immenses efforts dont elle ne se rendit pas compte. Nous nous revîmes souvent. Elle finit par prévenir ses parents qui tombèrent des nues. D’une part, divorcer, cela ne se faisait pas dans la famille (même si la mémoire se faisait très courte). D’autre part, pourquoi divorcer d’un si parfait mari ? Ils ne comprenaient pas. Comme à son habitude, son père se montra inflexible vis-à-vis sa fille, la rabaissant sans cesse. Il se montra encore plus horrible quand il apprit mon retour, m’attribuant la responsabilité de ce divorce. Grâce à mon aide, ma cousine déménagea pour un nouvel appartement et commença une nouvelle vie, sans moi. Car si je ressentais beaucoup de choses à son égard, j’étais empli de ressentiments également. Elle m’avait trahi en épousant l’idiot choisi par son père. Et comme elle était complètement prise par son divorce, je n’ai pas cherché à combler le fossé entre nous. Après avoir été très présent les premiers temps, j’ai arrêté de l’appeler, d’aller la voir sur Paris. Pour mon salut. Je reconnais que mon attitude fut très égoïste et qu’elle souffrit sans doute de cet abandon. Mais si je ne l’avais pas fait, j’aurais sauté sur elle à court terme. Je la voulais pour assouvir mes plus bas instincts, pour qu’elle redevienne mienne. Qu’elle soit ma femme. Pour me venger ...
... aussi. Cette période dura deux ans. Qui furent un calvaire. Au fond, je pensais qu’elle était une part de moi-même et que, séparé, j’étais comme amputé, handicapé. On a fini par se retrouver, lors d’un dîner chez ma sœur qui en avait assez de me voir me morfondre. Le dîner fut tendu, mais nous nous sommes vite rendu compte qu’on se tournait toujours autour. Le lendemain, je me suis rendu chez ma cousine et j’ai vidé mon sac. Elle m’a raconté sa version, comment son père s’y était pris pour la contraindre au mariage. On a discuté longtemps. Très longtemps. Entre-temps, sa fille était revenue du collège et nous avions dîné ensemble. Il a bien fallu partir. Au moment où j’allais l’embrasser pour lui dire au revoir, j’ai lancé : — Demain soir, je passe te récupérer à ton boulot et je t’emmène au resto. On va se faire une petite soirée, juste toi et moi. D’accord ? — Et ma fille ? — Je demanderai à ma sœur de la garder pour la nuit. Moi, je te kidnappe. — Ah oui ? Et pour quelle occasion ? — Notre anniversaire. Ça fait longtemps que l’on ne l’a pas fêté tous les deux. — OK. Je m’habille comment ? C’est là que j’aurais dû fermer ma bouche. La fatigue avait supprimé mon autocontrôle. — Sexy, jupe légèrement fendue, chemisier, soutien-gorge assorti, bas et porte-jarretelles. Ah oui, pas de culotte. Et ton sexe devra être épilé. — Eh bé ! Tu en en demandes beaucoup. T’es culotté ! Comment avais-je pu dire un truc pareil ? Au lieu d’attendre la baffe, j’ai pris la fuite en plaisantant. — ...