1. Elle, la femme de ma vie (2)


    Datte: 09/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... l’astiquer. Il s’est dressé tandis que ma cousine poussait un feulement. J’ai fait pénétrer un doigt dans sa chatte. Elle était ouverte, chaude et humide. Moi, je bandais. Je ne pensais plus à rien. Sauf à une seule chose : lui faire l’amour. Je l’ai poussée contre le capot. La soulevant légèrement, elle s’est retrouvée assise dessus. J’ai baissé mon pantalon, ouvert ses jambes que j’ai glissées sur mes épaules et j’ai enfoncé ma queue en elle. Quand je me suis retrouvé au fond, j’ai hurlé de bonheur. J’ai commencé mes va-et-vient. Son ventre était brûlant. Nous étions tellement excités que nous avons joui tous les deux très vite. Je l’ai embrassée. Elle s’est dégagée pour se mettre à genoux devant moi. Elle m’a pris dans sa bouche pour me faire rebander. Sa langue était agile, et je n’ai pas mis longtemps à me redresser. Une fois en forme, elle s’est courbée sur le capot. J’ai guidé mon sexe en elle. Je l’ai prise par les hanches et j’ai bougé. Rapide, lent, lent, rapide. J’ai mis ma main sur son clitoris et je l’ai branlée pendant que je la ramonais. Elle a joui. J’ai continué mes allers-retours dans son ventre. Nouvelle jouissance, commune. Je ne savais pas ce qu’il allait se passer désormais. On s’était retrouvé. — On va chez toi ? — Je n’avais pas vraiment prévu ça… — Je sais. Et je te veux encore. J’ai redescendu sa jupe, puis j’ai rallumé. Ses yeux étaient bouffis. Dieu, qu’elle était belle ! On est monté. Dans les escaliers, elle était devant moi. J’ai plaqué ma ...
    ... main sur ses fesses. Dans mon appart, je n’ai pas été patient. À peine la porte fermée, je l’ai attrapée. J’ai déposé son sac sur la table. J’ai ôté son chemisier, son soutien-gorge. Sa poitrine, pleine, me faisait face. J’ai aspiré ses tétons pour les faire durcir. J’ai enlevé ses chaussures et viré sa jupe. Il ne lui restait que ses bas et son porte-jarretelles. J’ai profité de la lumière pour l’admirer. Je l’ai mise à quatre pattes sur le canapé, les bras sur le dossier, la tête contre la fenêtre. J’ai écarté ses jambes et ouvert ses fesses. Approchant ma bouche, j’ai dégusté sa fente et son anus. Pour le coup, j’ai avalé un mélange de nos deux fluides. Pas mauvais, à vrai dire. Je l’ai fait jouir une nouvelle fois avec ma bouche. J’ai continué en léchant copieusement son anus. Je n’ai pas posé de questions. J’avais le sentiment qu’on pouvait tout se permettre cette nuit-là. J’ai posé mon gland contre son anus. J’ai poussé. — Doucement, c’est ma première fois… J’aurai donc eu ses trois pucelages. Dans ma tête, je me sentais Dieu tout puissant. J’ai appuyé, et son sphincter a cédé. Je suis entré à l’intérieur. J’ai attrapé ses seins. Et j’ai limé tout en la triturant. Quand elle a joui, je l’ai redressée contre mon torse, toujours fiché en elle. J’ai mordu son cou. Puis je l’ai déposée sur le lit. Je suis allé chercher deux verres et une bouteille de champagne. Je me suis adossé contre le mur et je l’ai attirée, plaquant son dos contre moi. J’ai servi la boisson. — La liqueur ...