1. Elle, la femme de ma vie (2)


    Datte: 09/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Je déconne. Allez, va dormir, je rentre, je suis KO. J’ai filé sans demandé mon reste. Je n’étais pas fier. À vrai dire, je me demandais comment notre soirée allait se dérouler. J’ai même été tenté d’annuler. Le soir, je suis passé la chercher à son boulot. Quand elle est sortie, j’ai eu un gros trouble. Elle portait une jupe noire arrivant aux genoux, légèrement fendue. Le chemisier était en soie, couleur vert d’eau, légèrement transparent, laissant deviner un soutien-gorge en dentelle. Et elle portait des bas ! Bref, cela correspondait à ma demande. Pour le coup, je me suis demandé si elle avait tout également omis sa culotte. Mais je n’allais certainement pas lui poser la question. — Tu me trouves comment ? — Magnifique. Belle à croquer. — On va où ? — J’ai eu des places pour le Lido. Repas et spectacle. — Un spectacle érotique ? — Le Lido, ce n’est pas du X. C’est juste légèrement coquin. Et encore. Je ne t’amène pas à un peep-show tout de même. À vrai dire, je serai allé n’importe où avec elle. Durant le repas, on a parlé de tout et rien, badinant allègrement. C’était agréable. Puis vint le spectacle. Un bon moment, où j’ai louché comme un débile profond sur les cuisses de ma cousine. Portait-elle ou pas de culotte ? Dans mon cerveau malade, cette pensée revenait sans cesse. Si je m’étais écouté, je serais allé vérifier. Et plutôt deux fois qu’une. Si je n’ai pas bougé, c’est qu’on était dans un lieu public. Je n’étais pas certain qu’une fois seuls je puisse arriver à ...
    ... me contrôler. Retour au parking. Je la tenais enlacée, comme si nous étions un couple. Ma main était sur sa hanche ; elle, collée à moi. Comme un acte manqué, ma main dérapa vers ses fesses. Elle n’a rien dit, et moi non plus. Ma main resta dans cette nouvelle position. Du bout de mes doigts, je la caressais, cherchant en même temps un éventuel contour indiquant la présence d’une culotte. Il m’a semblé ne rien sentir. On n’a pas parlé durant cette petite marche. Juste nous deux. J’ai ouvert sa portière pour qu’elle puisse s’installer. Était-ce pour se sentir plus à l’aise ? En tout cas, elle remonta légèrement sa jupe. Je n’allais pas tenir jusqu’à chez elle. Dans ma tête, il y eut une rupture. Je démarrai et conduisis rapidement à travers Paris. Je pris la direction de mon pied-à-terre parisien. Le silence régnait dans la voiture. Dans ma rue, je suis descendu directement au garage. J’ai fait sortir ma cousine et j’ai rangé la voiture dans le box. J’ai pris ma cousine par la main. On s’est regardé. La lumière s’est éteinte. Je l’ai embrassée. C’était un baiser vorace, ma langue envahissant sa bouche. Mes mains étaient plaquées sur ses fesses. Je me suis penché. Mes mains sont descendues sur ses genoux avant de remonter sous la jupe. Cette dernière a suivi le mouvement et s’est retrouvée sur sa taille. Toujours dans le noir, j’ai palpé. Il n’y avait pas de culotte. Ma main a trouvé le chemin de son con. Il était lisse. Et trempé. J’ai passé mon doigt sur son clitoris pour ...