1. Madame de Marans


    Datte: 15/07/2017, Catégories: ff, fagée, inconnu, grosseins, fépilée, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, historique, historiqu,

    ... choses élémentaires. Là devait s’arrêter ma mission aujourd’hui. Mais quand je vous ai vues arriver, toutes les deux, vous étiez si séduisantes, si belles, si attirantes ! Pouvais-je résister ? M’en voulez-vous ?— Peut-on en vouloir à quelqu’un qui vous a donné tant de plaisir ? Mais peut-être ma mère vous en tiendra-t-elle grief !— Pas si vous lui taisez nos écarts.— Une fille doit-elle avoir des secrets pour sa mère ?— Vous êtes douée pour les joutes verbales. L’êtes-vous autant pour les joutes amoureuses ?— Je l’ignore. Je suis encore bien novice dans ce genre de joutes. Voulez-vous essayer ?— Tout le plaisir sera pour moi… et pour Élodie, bien sûr, qui mérite sa part. Madame de Marans s’allonge. Caroline s’agenouille entre ses cuisses ouvertes. Elle est fascinée par ce sexe glabre. L’absence de toison le rend presque obscène. Élodie, agenouillée derrière sa maîtresse, presse sa lourde poitrine contre son dos et observe par-dessus son épaule en lui caressant les fesses. Caroline pose la main sur le sexe entrouvert. Il est chaud, poisseux de désir. Elle commence à y enfoncer un doigt, qui glisse sans peine. De son autre main, elle décapuchonne le clitoris et le taquine. Derrière elle, fascinée par le spectacle, Élodie ne peut résister. Elle recommence à se masturber d’une main, tandis qu’elle caresse les seins de sa maîtresse de l’autre. Les yeux mi-clos, Madame de Marans les observe en souriant. Les jeunes filles sont si belles à voir. Elle est subjuguée par les seins de ...
    ... Caroline, qu’Élodie masse maintenant sans ménagement. Les caresses et les attouchements que Caroline lui prodigue commencent à la faire gémir. Lorsque la jeune fille se penche en avant pour approcher le visage de son sexe, elle soulève le bassin pour venir à la rencontre de sa langue. À quatre pattes, Caroline approche le bout de sa langue, la glisse délicatement dans la fente. — Oui, Caroline, léchez-moi le sexe. J’aime qu’une langue agile me fouille la moule.— Mmh, j’aime le goût de votre mouille.— Et moi j’aime que tu me suces comme cela, avidement.— Et quand j’aspire votre bouton ?— Oh oui ! C’est bon. Et continuez à me caresser partout, les cuisses, les fesses, et là, oui, aussi… Élodie n’y tient plus. Elle se met à quatre pattes derrière sa maîtresse, dont la position cambrée lui laisse libre accès à son sexe et sa rosette. Elle ferme les yeux, enfouit son visage entre les fesses et respire avidement l’odeur chaude de son entrejambe. Les deux mains posées sur son cul, elle commence à la lécher, depuis le pubis jusqu’à la raie des fesses. Caroline apprécie : elle commence à onduler de la croupe. Madame de Marans n’a rien perdu de la scène. Élodie est vraiment une petite vicieuse. La domestique zélée de son amie lui plaît beaucoup. Elle a pris beaucoup de plaisir avec elle chaque fois que son amie la lui a prêtée, et chaque fois qu’elles se la sont partagée. Elle se souvient avec délice de l’odeur fraîche, un peu piquante de son jeune sexe. La voir tomber ainsi amoureuse ...
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