Madame de Marans - Histoires de Sexe

Madame de Marans

... de sa jeune maîtresse -car c’est bien d’amour qu’il semble s’agir, au-delà du vice- la rend un peu jalouse. Elle suce divinement, en plus, la petite Élodie. Pour une jeune fille de bonne famille, Caroline se débrouille bien aussi. Elle compense encore par son ardeur son manque de technique. Quand elle aura acquis un peu plus d’expérience de ce qui peut faire plaisir aux autres femmes, elle fera une amante hors pair. Bon sang ne saurait mentir. Pour l’heure, elle perd parfois le rythme. Sans doute les caresses d’Élodie la troublent-elle, car elle respire de plus en plus fort. Madame de Marans se frotte le bout des seins, qu’elle a très érectiles. Elle adore les caresser quand on lui lèche le bouton. Cela augmente terriblement son niveau d’excitation. — Élodie, viens sur le lit, près de moi !— Mais Madame, ne puis-je donc terminer ce que j’ai entrepris avec ma maîtresse, avant de m’occuper de vous ?— Je ne t’ai pas dit que tu devais arrêter de lécher le con de Caroline. Mais moi j’ai envie de goûter au tien. Viens par ici, tourne-toi, et toi, Caroline, recule un peu par-là. Voilà, couche-toi un peu sur le côté, pour permettre à Élodie de garder la tête entre tes jambes. Très bien. Maintenant, Élodie, écarte bien les cuisses. Mmh, tu sens bon.— Oh Madame, Tout cela est tellement excitant. J’ai le sexe en feu. Élodie a écarté largement les cuisses. Madame de Marans plonge le visage dans son sexe et respire avidement. Elle commence à la lécher. Élodie ondule des hanches, tout ...

... en continuant à donner du plaisir à sa maîtresse. Les trois femmes, imbriquées sur le lit, se lèchent, se sucent, se branlent en gémissant. Madame de Marans tend le bras, s’empare du godemiché qu’elle avait déposé près du lit, le tend à Caroline. — Tiens, j’ai tant envie de l’essayer. Enfonce-le-moi dans le sexe.— Comme ceci ?— Oui très bien. Oh, c’est bon ! Vas-y plus fort, n’aie pas peur, enfonce-le plus loin. Oui, comme cela.— Il est entré presque jusqu’au bout.— Oui je le sens bien au fond. Maintenant, fais-le bouger.— Je peux continuer à vous lécher le bouton ? J’adore cela.— Oui, c’est très bien continue. Et toi Élodie, continue à la branler !— Oh Madame, pas besoin de me faire prier. Mais je sens déjà mon plaisir qui monte.— Moi aussi, je vais bientôt jouir. Et je vois que Caroline commence déjà à défaillir. Entraînées dans leur folle sarabande, les trois femmes approchent du plaisir. C’est Madame de Marans qui jouit la première des va-et-vient du godemiché dans son sexe autant que des caresses de Caroline. Lorsqu’elle sent l’amie de sa mère trembler sous sa langue, celle-ci jouit à son tour, en serrant les cuisses autour de la tête d’Élodie. Celle-ci n’a pas encore joui : Madame de Marans a pris soin d’arrêter de la lécher quand elle a senti que son plaisir approchait. Caroline se remet doucement de sa jouissance. Madame de Marans l’invite à la rejoindre, et à venir lécher la soubrette. Caroline se penche, et commence à sucer avidement la moule, tandis que Madame de ...