Tommy (2)
Datte: 10/04/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... baise. Le jury délibéra et nous fumes déclarés vainqueurs. La cérémonie de remise du prix aurait lieu le lendemain et chacun put retourner dans sa piaule ou rester baiser avec qui il voulait. Il y eut un gigantesque partouze. Le lendemain matin eut lieu la remise du prix. Outre le chèque, il y avait une petite cérémonie. Tous à poil, le vainqueur, c’est à dire Nicolas, pouvait choisir la femme ou les femmes qu’il voulait pour les baiser. Je pouvais en faire autant avec des mecs et je choisis évidemment une dizaine de gars qui me parurent bien montés; Mais surtout, il y eut la récompense du chien. Toutes les femmes qui avaient participé à la soirée se tenaient sur des tapis autour de la salle, toutes à poil, certaines ayant gardé leurs chaussures, des bijoux, un foulard.... Certaines à quatre pattes, d’autres allongées, toutes se caressant la moule. Tommy n’avait qu’à choisir la croupe qu’il voulait. Lâché au milieux de toutes ces femelles en rut il se promena comme un fou, allant et venant, reniflant les croupes tendues vers le ciel ou les entre-jambes écartés et ruisselant de désir. Puis il s’arrêta a l’une d’entre-elle. Il commença par lui lécher la chatte bien comme il faut. La fille, qui n’était ni la plus belle ni la plus jeune, écarta ses lèvres avec la main gauche. Une de ses amies vint aider le chien à trouver l’orifice. J’étais à ce moment la accroupie avec une bite dans la bouche et un ...
... mec qui me caressait la rondelle et je pus voir de côté l’énorme pic rouge disparaître graduellement dans la cavité dilatée. La fille hurla quand le knot força la place trop étroite pour lui. Alors il se fit un attroupement autour du couple ainsi formé et je ne pus rien voir d’autre que le cul des mateurs qui me cachaient la scène tout en se tripotant les uns les autres. Pus tard, le cercle s’élargit à nouveau au moment où le chien se retirait. Les photos immortalisaient le cul rougeoyant d’où s’écoulait une écume blanche et épaisse. Le mec qui était en train de me fourrer en levrette à ce moment là, un sexagénaire bien dégueulasse avec une bite énorme, se dégagea, m’attrapa par les cheveux et me traîna jusqu’à la vulve de la chiennasse. "Bouffe salope" ! Je plongeai le visage, la langue pendante vers cette friandise et pendant que j’aspirai à grandes goulées, tout ce que je pouvais de la semence de mon chien, le mec acheva de me bourrer. Le cercle s’était reformé autour de nous trois. Des mecs agitaient leur chibre frénétiquement ou se faisait branler par des femmes avec non moins d’énergie. Des averses de foutre vinrent s’abattre sur mes cheveux, mon dos et la croupe toujours offerte de la maîtresse de mon chien. Ainsi se finit le week-end. Nous partîmes, avec un ticket d’invités pour la prochaine saison, avec plein de nouveaux amis et un carnet d’adresse qui promettait de bien chaudes soirées...