1. Carnet des voluptés : un bien joli secret 1-Frôlements de salon


    Datte: 16/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... visiblement trop étriquée pour contenir autant de chairs et d'abondance. Ce genre d'excentricité n'étant pas la marque de fabrique de la maison j'en déduis que la plutôt mince Sylvie, récemment revenue de sa maternité copieusement alourdie, n'avait pas eu le temps d'adapter son uniforme de coiffeuse à son nouvel embonpoint. J'ouvre la revue pour me servir d'alibi à la contemplation d'un tel tableau que Rubens n'aurait pu désavoué. Mon regard se fait exigeant en fixant cette petite dodue qui m'offre un spectacle de choix. Elle remue sans cesse autour du garçon qui a l'air de s'ennuyer prodigieusement. Je guette les plis de la blouse qui deviennent des alliés efficaces pour la satisfaction de ma curiosité devenue franchement lubrique, si ce genre de lubricité pouvait être loyal. Pour le moment elle est derrière le client, jambes suffisamment écartées pour faire subir à sa blouse une tension extrême à laquelle elle ne peut échapper qu'en remontant à un niveau permettant de découvrir, sous le nylon des collants blancs, deux cuissots qui n'ont rien de commun avec ceux d'un agneau de Pâques. Voilà qu'elle échappe un peigne et mon regard plonge sur la petite fente arrière de la blouse et, comme elle néglige de plier les genoux, je peux apercevoir furtivement le renfort opaque des collants, tout près de ses fesses joufflues. Elle s'est placée maintenant de profil et je vois avec satisfaction que son récent embonpoint a eu le bonheur de traiter son corps de la façon la plus ...
    ... égalitaire possible : à l'instar du cul, ses seins ont pris l'apparence de gros nichons aux aspérités aiguisées par l'allaitement. Visiblement les boutons de la blouse souffrent le martyr tandis que les bretelles du soutien gorge, dont la taille manque pour le moins d'ambition pour satisfaire le contenu, marquent un étroit sillon visible à travers le nylon de la blouse. Ce ballet autour du fauteuil me comble et, gavé de détails affriolants sur les secrets que le vêtement beaucoup trop ajusté ne fait que mieux révéler, je m'intéresse maintenant au visage de cette blonde appétissante. Un visage rond aux pommettes généreuses de porcelaine ; un regard bleu limpide assagi, à moins que ce ne soit perverti, par des petites lunettes reposant sur un nez bien dessiné mais un peu fort et une bouche large aux lèvres régulières avec deux plis la soulignant partant des commissures vers la base nasale qui s'accentuent lorsqu'elle sourit. Ce visage de poupée est surplombé par un chignon arrogant porté haut à l'arrière de la tête et équilibré par une frange qui cache le front. L'apparence apprêtée de la construction est controversée par quelques mèches à la folie sage et d'autres franchement échappées qui caressent son cou grassouillet. Je suis presque déçu lorsque la séance se termine car j'étais en train de m'imaginer à la place de Jean Rochefort dans le film "Le mari de la coiffeuse". Il faut me lever avec précaution sans courir le risque d'offenser la dame avec la trop apparente boursoufflure ...
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