1. Carnet des voluptés : un bien joli secret 1-Frôlements de salon


    Datte: 16/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... une seule idée en tête : retrouver ce contact torride ; me coller le pubis contre ce coude révélateur ; ressentir en moi la renaissance d'un désir si longtemps confisqué ; oublier contre un homme la déconvenue de ma métamorphose hormonale. C'est en fantoche articulé par le réveil de ma libido que je viens coller mon ventre contre le coude qui l'attend. Tandis que j'accomplis mon travail à grand peine, je reçois avec délice la pression sur mon mont de Vénus, la laissant me fouiller maladroitement. Ayant terminé la coupe mais la retardant avec quelques coups de ciseaux épars, je me soulève un peu et reçois comme si c'était un énorme pénis le coude aux creux de mes cuisses là où l'urgence se fait la plus présente. Complètement folle, je roule mon ventre par petites circonvolutions que j'espère discrètes. J'arrive à rouler ma chatte pleine de mouille contre la puissance du coude crapuleux. Les pas d'une collègue interrompent ma chevauchée malaisée mais si jouissive. Vite, je me décolle et essaie sans résultat de reprendre mes esprits. Quasiment ...
    ... commotionnée par cette aventure incroyable, n'osant regarder son coupable, je me réfugie derrière la caisse, Je n'ose regarder mes collègues. Je n'arrive pas encore à m'en vouloir de m'être prêtée à ce jeu pervers. Le nez dans le tiroir j'encaisse l'argent. Je suis très mal à l'aise car je sens qu'il me dévore des yeux et je ne sais pourquoi je pense à mes collants que je sens souillés de mon jus. C'est alors que sa voix grave et si charmeuse me sort de mes pensées insoutenables et que j'ose enfin lever mon regard vers lui, lorsqu'il me dit : - Maintenant Sylvie nous avons un secret… Un bien joli secret ! Il me laisse, bouleversée certes par le tourbillon charnel qui m'a emportée, mais aussi qui nous a emportés. Et je répète en moi ces mots "un bien joli secret". Mais que faire d'un tel secret ? La sonnerie du téléphone casse ma rêverie. C'est mon Patrick qui me dit qu'il m'attend dans la voiture devant le salon. Vite je me change et le rejoins et c'est une petite grosse qui s'assied sur le siège du passager auréolée d'un halo de légèreté frivole… 
«12...4567»