1. Gwendoline, le loup-garou et moi (1)


    Datte: 16/04/2018, Catégories: Zoophilie,

    C’était l’été suivant le décès de mon grand-père. Mes parents avaient hérité naturellement de tous ses biens, mon père étant fils unique et, notamment du château où j’aimais aller. Nous devions tous nous y retrouver en août mais j’étais partie en avance pour l’ouvrir et aussi pour en commencer l’immense inventaire. J’avais cependant dit à mes parents que je ne souhaitais pas y aller seule. C’est en campagne. Les soirées auraient pu m’y paraître longues. Quand j’avais proposé à Gwendoline, ma meilleure amie, d’y venir avec moi, elle ne s’était pas faite prier. Trois semaines de vacances gratos dans le sud, dans une demeure magnifique avec piscine et tout le toutim, même à 25 kilomètres de la ville la plus proche, cela se prend. On se levait assez tard, ce qui était un tort compte tenu de la chaleur accablante de l’été. On restait à l’intérieur tout la journée, à dresser un inventaire pièce après pièce de tout le mobilier, mon père ne sachant pas si tout était assuré. Nous avions attaqué la bibliothèque, pour mon plus grand plaisir tant j’aime les livres. Je prenais un ouvrage, j’en donnais les références à Gwendo qui les reportait sur un fichier excel. Ce jour là nous avions travaillé des heures. A près une douche bien méritée, nous nous étions fait un repas d’autant plus sympa que la cave était fort bien fournie. Et puis nous avions cherché le frais au bord de la piscine. Mais c’était la canicule. A 23 heures, il faisait encore 29° ! Un léger vent de sud n’apportait qu’une ...
    ... caresse chaude mais aucune fraîcheur. C’était juste une promesse de plus grande chaleur pour le lendemain à moins que l’orage n’éclate dans les collines à l’arrière. Autant le dire, nous étions nues. Nous n’avons aucun secret l’une pour l’autre. On n’attendait personne. Les maisons les plus proches, c’est à dire les anciens communs du château où vivent le gardien et sa femme, et le hameau d’une dizaine de toits, tous résidences secondaires, étaient vides. Le gardien était en vacances et, comme j’étais là, nous n’avions pas pris un intérimaire suppléant. Les résidences secondaires ne s’ouvriraient qu’en août. Gwendo étaie avachie sur son transat. Ses grosses mamelles se montraient fièrement et sa toison rousse luisait de transpiration, impudique. De temps en temps, nous plongions dans la piscine pour nous rafraîchir, puis nous buvions un peu. J’avais mis du champagne au frais, la cave en était pleine, et il n’y avait pas d’autre boisson à bulles. Bref, l’ivresse nous guettait. La lune était pleine et ronde dans le ciel pur qu’elle illuminait de sa clarté. Je dis à Gwendo que nous allions nous prendre un bronzage lunaire si nous restions trop longtemps à poil dessous, qui donne à la peau un aspect un peu cuivré. Tout à coup nous entendîmes un hurlement long et puissant; "C’est quoi ça "? demanda Gwendo. — Un chien. — Dans le coin ? — Je sais pas. Je crois pas qu’il y en ait. — Pourtant, il a l’air d’être assez proche. — Ouais. Je sais pas ce qu’il a à hurler comme ça ! — Mets toi ...
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