Gwendoline, le loup-garou et moi (1)
Datte: 16/04/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... rapidité qui devait singulièrement chauffer les entrailles de ma pute de copine qui avait perdu tout mesure : "Enfonce-moi ton chibre, mieux que ça... déboite-moi, vas-y, c’est bon". Et il répondait ; "T’aime la queue, hein, t’en as jamais eu une queue pareille hein pouffiasse. T’aimes que je te grimpe, t’aimes-ça, aller, dis-le que t’aimes être prise comme une salope.." Et elle répondait comme une charretière. Comme une partie de la bite restait à l’extérieur, je pus voir le knot enfler à nouveau comme s’il avait dû se bloquer pour prendre à peu près la taille d’une boule de pétanque et demie et je compris pourquoi ma raie avait été soumise à si rude épreuve. Le nœud allait et venait et, à chaque fois qu’il sortait, il laissait s’écouler un filet de crème qu’il comprimait en rentrant, projetant ainsi des myriades de gouttelettes dans toutes les directions. "Prends-ça grosse truie. Carre-toi ça dans le fion... T’aimes hein, vas-y couine, couine pétasse". Les burnes s’agitaient frénétiquement et j’en adorais le spectacle. Quand vint le moment de jouir, il se retira. Aussitôt je me précipitai sous la verge canine pour en recevoir une ...
... douche onctueuse, chaude, abondante que je laissai pleuvoir en averse sur mes nibards. Gwendoline s’était retournée pour recevoir sa part du butin. Nous étions couvertes de semence. Je jouais avec mes seins pour que se répande le jus au maximum. J’y trempais mes doigts pour en mouiller ma chatte. Il nous regardait, toujours bandant et prêt à nous saillir encore. Mais le jour se levait. Il nous remercia de l’avoir dépucelé sous sa forme bestiale. Tout le plaisir était pour nous. Nous n’avions ni l’une ni l’autre pris un tel coup dans le cul de notre existence. Nous lui fîmes promettre de revenir. Il nous le jura à condition que nous gardions le secret car, en revenant, la prochaine fois, s’il y avait des témoins imprévus ou un piège, il le saurait. Un dernier bisou sur la queue qui pissait encore et il disparut en quelques bonds extraordinaires. Nous entendîmes au loin un hurlement qui nous sembla de satisfaction puis ce fut tout. La nuit avait été blanche. La température avait baissé. Le sperme se coagulait lentement sur notre peau. Nous décidâmes d’aller nous coucher, emportant sur nous l’odorante et gluante preuve que nous n’avions pas rêvé.