1. Gwendoline, le loup-garou et moi (1)


    Datte: 16/04/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... à sa place. Avec tous ses poils il doit crever de chaud. — Il est en chaleur c’est sûr ! — Gwendo ! Tu penses vraiment qu’à ça hein ! — Qu’à ça non, mais avoue que ta campagne manque un peu de mâle. Et ce soir je me taperai bien une bonne queue. — Désolée. Il n’y arien à des kilomètres. — Si, ce chien ... — Gwendo, vraiment, tu te taperais un clebs ! — Je déconne.... quoique.... Il paraît que certains sont très bien montés et baisent mieux qu’un mec ! Sur ce, elle éclata de rire, tout en passant la main sur sa touffe où elle la laissa se promener. "Quoique;.. un bon mec là... hmmmm, j’ai envie.... Tu veux pas qu’on prenne la voiture et qu’on aille en ville "? — Ecoute, il est minuit passé. Il nous faut plus d’une demie-heure et on va étouffer avec des mecs qui puent la bière, la vodka et la sueur. Allez, viens plutôt te coucher ! — Oui, tu as sûrement raison. Dis-moi Ombeline, avant tu ne voudrais pas m’apporter un dernier verre de champagne ? Après quoi je pique une dernière tête et dodo. — Tu as déjà assez bu... aller, encore un verre, je vais te le chercher. Je traversai la terrasse, rentrai dans le grand salon et me dirigeai vers le bar où j’avais remis le champagne au frais. J’étais à peine rentrée que j’entendis Gwendoline crier de terreur. Je revins immédiatement sur mes pas et ce que je vis me sidéra. Devant Gwendoline se tenait une masse énorme et sombre qui me tournait le dos. Le monstre était si grand, peut -être 2 mètres 70, qu’il me cachait complètement ...
    ... Gwendoline puisqu’il était placé entre elle et moi. Il avait la tête très poilue et ces poils descendait dans le cou pour former une pointe qui se figeait entre les omoplates. Après cela il semblait être aussi lisse que si on venait de l’épiler. Le dos très musclé et démesurément large, les pattes campées mais pliées. Je voyais sa nuque et deux oreilles pointues. Je n’eus ni le temps d’avoir peur, ni le temps de réfléchir. Mon grand-père était un excellent chasseur et il m’avait initié à cet art. Je décrochai un fusil de gros calibre du râtelier, ouvris le tiroir secret où l’on rangeait les munitions, je chargeai. Cela fut fait en un instant. Je revins sur le seuil. L’animal n’avait pas bougé à ce qu’il me parut. J’épaulai, visai au milieu du dos. A moins de cinquante mètres je ne pouvais pas le rater. Je fis feu. La détonation résonna dans la salon, la fumée emplit la pièce. Je réarmai. L’animal se retourna vers moi. Je n’eus pas le temps de le regarder en détail. Je visai le poitrail en plein cœur. Je pressai sur la détente. Le coup partit... et rien. Alors l’animal fit un bond prodigieux, un seul, et se retrouva devant moi. Je m’écartai, ce qui me déséquilibra, et me retrouvai contre la persienne. J’étais au sol, l’arme hors de portée, la bête devant moi. Instinctivement j’avais plié mes bras sur ma tête pour me protéger. Je sentis son souffle. J’étais terrorisée. Jamais je n’ai eu une telle frayeur. Je pissai sous moi. Je sentis les énormes pattes griffues me saisir les poignets. ...
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