1. Gwendoline, le loup-garou et moi (1)


    Datte: 16/04/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... pas comme un homme. — C’est fatiguant, on ne peut rien vous cacher. Vous lisez dans nos pensées tout le temps comme cela ? — En partie oui. Cependant, Gwendoline se réveillait. Maxime, le loup-garou se mit en arrière, le temps que je lui explique. Quand il la sentit capable de comprendre il nous parla par télépathie puis il se montra. Alors commença la plus surréaliste des conversations. Dans la touffeur d’une nuit d’été de pleine lune, deux nanas complètement nues parlaient avec un géant plein de poils dont un coup de griffes pouvait vous envoyer ad patres. Il nous expliqua tout en nous faisant bien comprendre que, de toute façon, nous n’avions aucun intérêt à le dire car on ne nous croirait jamais. Pas faux ! Les loup-garous n’étaient pas aussi méchants qu’on voulait bien le dire. En fait, ils ne s’attaquaient qu’aux criminels et protégeaient les honnêtes gens comme c’était notre cas. "Ah bon, vous nous protégiez, et de quoi"? — Avant que j’arrive, il y avait deux types en bagnole qui venaient pour vous cambrioler. Ils ne vous voulaient pas que du bien. Quand ils m’ont vu, ils ont planté leur caisse dans un arbre à deux kilomètres. Je leur ai ensuite fait un grand sourire de près. Il sont partis en courant. Vu la frousse qu’ils ont eue, j’ai lu dans leur cerveau que vous ne les reverrez jamais dans la région. Il nous dit ensuite comment il était devenu loup-garou et quelle était sa vie, sans s’étendre sur qui il était après ou avant sa métamorphose: "Vous comprenez, quand ...
    ... je suis en loup-garou, j’ai une force et une vitesse peu communes, je lis les mauvaises intentions dans le cerveau des gens.je suis quasiment invulnérable. Quand je suis un homme, je suis un homme". — Et donc mes coups de feu de ce soir ? — Rien ! Mais demain à mon réveil, j’aurais deux énormes bleus à l’endroit des impacts. Je vais vous bénir pendant quinze jours ! Rendez service aux gens ! — Excusez-moi, je ne pouvais pas savoir. — Vous êtes toute pardonnée. — Il était plus de deux heures du matin. Il voulut prendre congé. — Déjà, restez encore un peu. — Non, vous ne risquez plus rien et il faut que j’aie regagné ma voiture avant le lever du soleil pour ma métamorphose. — Vous avez bien le temps. — Oui, c’est vrai. — Et vous reviendrez nous voir. — Avec plaisir. — Et nous pourrons encore vous comprendre ? — Non. Il faudra que vous buviez encore mes premiers jets. — Au fond, dit Gwendoline, ce n’est peut être pas si désagréable. — Enfin Gwendo, tu vois bien quand même que Maxime est .... — monté comme un chien ? — Ben oui. Dit-il : et il nous expliqua d’ailleurs que c’était peut-être le côté le plus agréable de sa métamorphose car, alors, il avait des dimensions nettement plus avantageuses que sous sa forme humaine. Et les sensations qu’il éprouvait étaient décuplées. Gwendoline lui demanda : "quelle sensation "? — Ben tout à l’heure, dès que je vous ai vue... nue, vos seins... alors automatiquement... — Ah ? — Oui, excusez-moi. — De rien, c’est plutôt flatteur.... Donc, si ...
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