1. Gwendoline, le loup-garou et moi (1)


    Datte: 16/04/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... vous revenez, il suffira de quelques gouttes... — Oui... cependant, il il a bien un autre moyen.... — Lequel ? — Et bien, une femme qui a été.... couverte... — Couverte ? — Oui, euh, "fécondée" par un loup-garou, en comprend le langage pour toujours. — Vrai ? — Vrai. — Et pas de risques ? — Aucun. Pas de maladie et on ne tombe pas enceinte d’un loup-Garou sauf les pucelles. Je regardais Gwendoline et je la connaissais suffisamment bien pour voir qu’elle hésitait. Il lut cette hésitation. "Pour moi aussi ce sera un nouveauté. Je ne l’ai jamais fait encore dans cet état". Alors il se mit debout. Il était gigantesque. Ses muscles étaient ronds, fermes, puissants. Ses pectoraux et abdos étaient ceux d’un homme, sans poils à l’exception de son pubis comme son entre-jambes d’ailleurs. Les couilles pendaient lisses et étaient surplombées par un fourreau poilu et saillant dans lequel s’étaient partiellement replié le pénis dont l’extrémité dépassait un peu, ce que sa couleur nous désignait sans peine. Ses bras étaient très longs et pendaient le long de son corps jusqu’à ses mollets. "Quelle masse" ! dit Gwendoline. Et elle s’approcha. La queue rouge grimpait comme une fusée vers le ciel. Elle était identique à celle d’un chien mais vraiment énorme. Un liquide un peu plus trouble que de l’eau s’en échappait. Ses griffes étaient rétractiles et disparurent complètement. Il baissa son bras, le passa entre les jambes de Gwendoline et commença à la doigter. Elle prit la bite à pleine ...
    ... bouche. Il ronronnait. Et Gwendoline entre deux coups de langue s’extasiait : "Oh la vache, la bonne queue. Viens Ombeline, c’est chaud, dur, et bon. Cette mouille à comme un goût de noisette. Allez vient quoi! Tu as vu le morceau ? Il y en a pour deux". J’hésitai. Maxime, retira ses doigts de la chatte de ma copine et ,me prenant des deux mains par la taille, il me souleva comme un plume avec une délicatesse dont je ne revins pas. Il m’approcha ainsi de sa gueule et me dit de poser mes pieds sur ses épaules. Elles étaient douces et solides. Alors je pliai les jambes à mesure qu’il approchait ma vulve de sa truffe. Je sentis son haleine chaude sur ma toison. Il sortit une langue gigantesque et commença à me lécher le sexe. Cette langue était comme un membre à part entière, longue, musclée et agile. Il humecta mon pubis, écarta la raie , me titilla le clitoris, puis le bouton et jusqu’à la raie du cul. Je mouillai comme une chienne. Ça ruisselait sur sa langue jusque dans sa gueule grande ouverte. Puis il inséra cette proéminence linguale dans mon vagin. Elle était à la fois douce et rapeuse, moins grosse qu’une bite évidemment mais tellement plus agile. Il la faisait bouger à l’intérieur avec une dextérité magnifique, dans tous les sens. Je jouis rapidement en me cramponnant à ses avant-bras. Il me reposa au sol. Gwendoline pompait toujours l’excroissance rouge avec avidité. Son menton, son cou, ses seins, son nombril et sa pelouse rousse disparaissait sous un nappage qui ...
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