1. La Croix


    Datte: 22/04/2018, Catégories: fh, amour, volupté,

    ... inclina la tête et posa ses lèvres sur les miennes. Je pris le temps de savourer cette sensation délicate, ce contact moelleux auréolé d’un délicat parfum. Apparemment, malgré son excitation trahie par sa respiration hachée, Lucile souhaitait elle aussi prendre son temps. Bientôt cependant ses lèvres s’entrouvrirent et sa langue vint titiller la mienne. Puis elle se serra contre moi, je sentis de nouveau le contact de ses seins, mes mains glissèrent derrière son dos, entre son pull et son chemisier. J’espérais qu’elle vienne, comme la veille, coller son pubis contre le mien mais, brusquement, elle quitta ma bouche, se retourna et, jetant ses bras en arrière, me saisit et m’attira contre elle. Elle se pencha légèrement en avant, puis appuya ses mains sur une table à proximité. Mon bassin était contre ses fesses. Elle se pencha encore un peu, se positionna puis se mit à appuyer. Son cul vint à la rencontre de mon sexe. Elle portait un pantalon léger, en toile, aussi je sentais parfaitement ses deux globes fessiers s’écarter peu à peu, à mesure de ses mouvements circulaires. Je plaquai alors mes mains dessus, pour les écarter encore. Elle gémit légèrement. J’appuyai pour quelle me sente bien malgré nos pantalons. Elle cessa soudain d’onduler des hanches, et je l’imitai. Alors elle commença à contracter quelque chose - je n’aurais su dire quoi sur le moment - son périnée, peut-être : cela bougeait, cela palpitait contre mon sexe, alors qu’elle était immobile. — Graham… ...
    ... dit-elle, c’étaient ses premiers mots depuis que nous étions entrés dans la salle.— Oui, Lucile ? Ma voix avait ce halètement de l’excitation.— Graham, dis-moi ce que tu sens, implora-t-elle, en intensifiant ses contractions.— Je t’aime…— Oui, dis-moi ce que tu sens, avec ton corps… Je commençais à comprendre ce qu’elle voulait. Je m’approchai de son oreille autant que faire se peut dans cette position, et murmurai : — Je sens…— Oui, Graham… Oui ?— Je sens ton anus qui se dilate contre mon gland, Lucile…— Oh, Graham ! Elle se cambra en gémissant. Je dus faire un effort terrible pour ne pas jouir. Au même moment, des bruits de pas et de voix se firent entendre dans le couloir. Nous nous séparâmes hâtivement et maladroitement juste quelques secondes avant que la porte ne s’ouvre. Des étudiants entrèrent, sans faire très attention à nous pour la plupart, à part quelques-uns qui, visiblement, avaient parfaitement compris quel genre de scène ils venaient d’interrompre ; mais cela nous valut tout au plus quelques regards complices. Lucile était haletante, comme enfiévrée, et je ne devais pas avoir l’air plus serein. Il ne restait qu’à sortir, ce que nous fîmes en nous tenant par la main. — Graham, bravo, je suis fière de toi, tu as su trouver les mots qu’il fallait ! me dit-elle, avec une gentille ironie, ce qui me désarçonna une nouvelle fois, alors que nous reprenions notre souffle en marchant lentement dans le couloir. Je ne trouvais rien à lui répondre, j’étais abasourdi. Comme la ...
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