L’innocente étudiante
Datte: 23/04/2018,
Catégories:
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
... elle ne disposait toujours que d’une seule main libre, ce qui rendait la tâche quasi impossible.L’homme en face d’elle se prit à rêver qu’il l’aidait.Ainsi, alors qu’elle continuerait de raconter à son petit ami ses péripéties universitaires, il lui enfilerait soigneusement sa culotte puis ses bas couleur chair, remontant petit à petit ses mains tremblantes et chaudes le long des jambes fraîches. Prétextant que cela lui faciliterait la tâche, il tirerait les jambes de la jeune fille vers lui, disposant les pieds menus de part et d’autre de son membre ardent et dilaté ; puis il reprendrait son ouvrage, faisant lentement remonter les bas jusqu’aux cuisses virginales qu’il caresserait longuement et intensément de toute la paume de ses mains. Alors que les bas de Maëva lui arriveraient ainsi à mi-cuisses, il en profiterait pour effleurer l’entrejambe de la jeune fille à l’endroit même où sa petite culotte à demi-transparente laisserait deviner deux grandes lèvres.Hélas ! tout cela relevait du fantasme…L’étudiante dut remonter encore plus sa jupe et desserrer davantage ses cuisses, afin de pouvoir enfiler complètement sa culotte puis ses bas. Machinalement, en tirant sur ces derniers, elle allongea ses jambes ; la plante de ses pieds vint alors s’appuyer contre le pantalon de l’homme, de part et d’autre de la verge, dont, non sans embarras, elle sentit une nouvelle fois, assez distinctement, à travers le tissu du pantalon, la chaleur et la dureté.Une fois la conversation ...
... téléphonique terminée, les joues rougies par la gêne, Maëva enleva ses pieds de la banquette de l’homme, lequel fit mine d’être brutalement réveillé. Pour remettre ses escarpins, elle dut se pencher, approchant son pur et innocent visage de jeune fille du pantalon déformé par la verge érigée et les testicules, sur le relief desquels tombaient ses longs cheveux châtain. L’homme s’avança encore davantage sur son siège, de sorte que sa hampe et ses bourses vinrent frôler les joues de l’étudiante. Enfin, celle-ci, ayant remis ses escarpins, put reprendre une position normale.« Ouf ! Juste à temps » observa-t-elle – car elle vit que l’homme avait ouvert les yeux. Croisant les jambes, elle s’efforça de reprendre sa lecture.Ce n’était pas facile, car l’homme était décidément fasciné par les jambes de Maëva. Par le reflet de la fenêtre, elle l’observa un instant à la dérobée : qu’il fixe ses pieds menus emprisonnés dans ses escarpins à talons hauts aux brides noires, passe encore… ; mais lorsqu’elle voyait le regard de l’homme remonter le long de ses fragiles chevilles, de ses mollets fins, puis de ses genoux ronds, enfin de ses longues cuisses fuselées, elle se disait : « quelle indécence ! »Elle n’imaginait que trop bien l’homme savourant la vision de ces cuisses offertes, laissant visibles la couture de bas que Maëva, dans son embarras, n’avait pas enfilés tout à fait correctement jusqu’en haut des cuisses. En se penchant, elle s’aperçut qu’une bande de chair nue était même parfaitement ...