L’innocente étudiante
Datte: 23/04/2018,
Catégories:
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
... visible au-dessus des bas. Elle tira sur ces derniers, pensant qu’ils protégeraient ses jambes un tant soit peu des regards. En fait, ses mouvements de jambes ainsi que le doux crissement des bas sur les cuisses excitèrent l’homme encore davantage, à en juger par ses yeux exorbités et par la bosse de son pantalon, dont la forme exacte ne suscitait a priori aucune difficulté d’interprétation. Elle tenta de tirer sur sa jupe plissée, mais sans succès : elle était condamnée à laisser l’homme se repaître de cette exhibition que pour rien au monde elle n’avait désirée.Après quelques minutes, l’idée lui vint qu’elle pouvait prendre prétexte d’aller aux toilettes pour se lever et changer de place. Mais alors qu’elle tentait de se lever, une courbe du train lui fit perdre l’équilibre ; tombant sur l’homme, elle porta involontairement sa mains fine sur sa verge raide et brûlante. Le temps pour elle d’arriver à se redresser, elle n’eut pour seul support que ce membre turgescent, et n’eut pas d’autre choix que de le flatter, bien malgré elle, en le caressant et en le serrant entre ses doigts fins. L’homme, sur le visage duquel un sein voluptueux s’était écrasé, avait profité de l’occasion pour plaquer ses mains sur les fesses de la jeune fille, comme s’il voulait l’empêcher de tomber.Enfin, elle se redressa, l’air de rien, les joues écarlates, s’excusa et se dirigea vers les toilettes qui se trouvaient juste à côté.Malheureusement elle dut faire aussitôt demi-tour et se rasseoir car ...
... les portes des toilettes étaient fermées à clef – comme il arrive souvent dans ces maudits trains de banlieue ! Quelque peu irritée, elle s’efforça de retrouver sa sérénité dans la lecture de son manuel de Droit des Affaires. Allons ! Patience ! Elle se dit que le mieux était de ne surtout pas faire attention à cet homme, à ses regards appuyés. Prenant l’air dégagé et hautain que lui avait transmis son milieu social, elle regarda par la fenêtre ; elle vit avec satisfaction qu’ils avaient déjà dépassé Conflans. Dans moins d’une heure elle serait avec Loïc, dans ses bras, chez lui, pour la première fois…Drôle de petit ami que ce Loïc ! Toujours gentil, prévenant, attentionné. De plus, il était plutôt mignon. Quel dommage seulement qu’il soit aussi « porté sur la chose »… La dernière fois qu’il était venu chez elle, dans le studio qu’elle occupait dans le Quartier Latin, ils s’étaient chamaillés avec un tel entrain qu’à sa grande stupeur elle s’était retrouvée par terre les jambes écartées, la jupe relevée, sans culotte, avec, devant elle, le sexe de Loïc qui s’agitait, prêt à la pénétrer ! Comment celui-ci avait-il osé lui faire ce tour pendable ? D’une voix tremblante, dans un sursaut de conscience, elle lui avait imploré :— Loïc, non, je t’en prie, pas avant le mariage ! Je t’en prie !— Ma chérie, laisse-moi t’aimer, rien qu’une fois, j’en ai tellement envie.En y repensant le lendemain, la jeune fille devait convenir que, avec ses cuisses virginales écartées, si bien mises en ...