Carole et Louise
Datte: 24/04/2018,
Catégories:
ff,
copains,
init,
ecriv_f,
... que c’est encore Victor qui fait des siennes. Allez, raconte-moi. À quoi vous avez joué cette fois-ci ?— Il était là tout à l’heure, commença-t-elle.— Et il est où maintenant ?— Il est d’astreinte. On l’a appelé. Il doit revenir.— Et il t’a laissée en plan, alors que toi tu l’as bien évidemment astiqué avec ardeur et amour. Il est vraiment impossible, ton mec ! Je ne te reconnais plus depuis que tu es avec lui. Carole s’était assise à côté de son amie. Elle tendit le bras pour attraper la boîte de jus d’orange et le drap de bain se dénoua. Son sein gauche effleura le bras de Louise qui eut un léger mouvement de recul. Carole saisit la serviette et la rajusta maladroitement. — Si on le faisait enfin ? dit simplement Louise en enlevant la serviette. Elle approcha ses lèvres de celles de Carole et s’en empara goulûment. C’était bon, c’était tendre, leurs deux langues qui se rencontraient, se mêlaient. Elle mordilla les lèvres de Louise qui avait entrepris de lui caresser doucement les seins. — J’ai très envie, gémit Carole.— Moi aussi.— C’est mal ! essaya-t-elle mais sans aucune conviction, tandis que les dents de Louise titillaient la pointe de son sein droit.— On s’en fout. Déshabille-moi ! Carole dut se forcer pour s’extraire quelques instants des caresses de son amie. Elle défit les deux derniers boutons du chemisier de Louise qui ne portait rien en dessous. Elle prit ses seins à pleines mains. Impatiente, Louise se défit elle-même de son pantalon et de sa culotte. — ...
... Caresse-moi. Parcours mon corps de ton désir. Insuffle-le moi. Donne-moi envie de toi, de ton odeur, de ta sève, de ta chatte. Fais-moi jouir longtemps et bien, lui murmura Louise à l’oreille. Carole était au supplice. Elle sentait qu’elle allait partir vers la petite mort à l’instant même, rien qu’au contact de la peau de son amie, tant son désir était prégnant, impérieux. Il la terrifiait presque. Elle était au bord des larmes. — T’inquiète pas, je vais pas te laisser en route. Je m’appelle pas Victor, moi ! dit Louise en lui embrassant les paupières. On va se faire un pied d’enfer ensemble, tu vas voir.— Je l’ai jamais fait, gémit Carole qui, n’y tenant plus, empoigna la main de son amie pour la diriger vers son bouton gonflé comme une tête d’obus.— Moi non plus, mais on s’en fout. On va bien y arriver, dit Louise en riant. Allonge-toi sur le dos. Ecarte bien les jambes. Voilà, c’est bien. Louise écarta doucement les lèvres de la chatte de Carole, qui sursauta à ce simple contact. — Eh bien, dis donc, ma vieille, tu es dans un drôle d’état. Elle se mit à lui caresser le bord du vagin qui ruisselait d’un miel chaud jusque sur le tapis noir, y formant une petite tâche claire. Elle porta l’index à sa bouche, puis renouvela son geste à l’intention de Carole. — C’est bon, dit-elle en s’approchant de Carole pour l’embrasser. Elle mélangèrent leurs langues pour partager les saveurs de Carole. Ce faisant, Louise s’était couchée sur son amie et lui caressait les seins à lui faire mal. Les ...