1. Carole et Louise


    Datte: 24/04/2018, Catégories: ff, copains, init, ecriv_f,

    ... pointes en étaient dures comme du bois, et Carole gémissait de douleur et de plaisir. Son bassin bougeait en cadence tandis qu’elle s’emparait à son tour des seins de Louise. L’un dans une main, l’autre en bouche. Ses dents enserrèrent la pointe souple qui durcit instantanément. Louise l’encourageait dans le creux de l’oreille : — Oui, oui, vas-y, n’aie pas peur. C’est bon, ma douce. Dans les baffles, Madeleine Peyroux chantait "J’ai Deux Amours…". Louise fit lentement glisser une main jusqu’à la chatte de Carole et y introduisit trois doigts sans ménagement. Carole eut un petit cri de surprise et de plaisir mêlés. Elle s’agita de plus belle, contractant et relâchant frénétiquement son vagin autour de ce substitut de queue. Louise s’interrompit brusquement et se dégagea du corps de Carole. — Que fais-tu ? implora Carole. Tu ne sens pas que je vais jouir ?— Justement, c’est un peu rapide à mon goût. Ne veux-tu pas que je te lèche un peu la chatte avant ? Ça fait des siècles que je rêve de faire ça avec une fille. Si c’est avec toi, ce sera encore mieux.— Moi, je rêve qu’on me le fasse, dit Carole en fermant les yeux. Vas-y, je suis à toi. Louise parcourut le corps de Carole d’une longue et tendre rivière de baisers, depuis sa gorge jusqu’à l’entrée de ses profondeurs. Elle fit pénétrer sa langue, un peu hésitante tout d’abord, puis plus conquérante. Sentir son amie s’abandonner totalement à ce contact lui provoqua une vive excitation. Voulant se consacrer exclusivement à la ...
    ... jouissance de Carole, elle prit le parti de se caresser pendant qu’elle dardait le sexe de son amie des assauts de sa langue. De son index droit elle excitait son clitoris qui bandait à lui faire mal tandis qu’elle léchait et pompait le con de Carole. Elle pénétra son vagin à plusieurs reprises avec sa langue. C’était très doux, cette peau chaude et lisse. Les saveurs inconnues qu’elle découvrait l’emmenaient loin elle aussi. Elle avait envie que Carole lui inflige le même traitement sublime. — Viens me lécher, dit-elle sans s’interrompre pour autant. Maladroite, hésitante, au bord de l’extase qu’elle retenait toujours, Carole s’exécuta. En position de soixante-neuf, les deux femmes calquaient leurs caresses buccales, cherchant à se donner mutuellement le plus de plaisir. Elles découvraient des sensations inconnues jusqu’alors, des caresses qu’aucun homme n’avait jamais su, pensé, réussi à leur faire. C’était un pur bonheur de faire ça entre femmes, elles n’avaient aucune envie que cela s’arrête. Tandis que Louise introduisait son pouce dans l’anus de Carole, lubrifié et offert à l’extrême, celle-ci sentit qu’elle allait partir. C’en était trop. — Viens frotter ta chatte contre la mienne, supplia-t-elle. Je rêve de faire ça depuis que je suis toute petite.— Hum ! Je te vois venir, salope ! Et c’est ainsi, chattes béantes collées l’une à l’autre, s’activant frénétiquement pour enfin aboutir, qu’elles atteignirent au même instant, dans le même souffle, le même baiser, un orgasme ...