Nymphomanie
Datte: 26/04/2018,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
fhhh,
plage,
campagne,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
fgode,
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
confession,
totalsexe,
... voiture et pris la route pour la ville voisine : assise au volant, mes cuisses étaient entièrement découvertes. Le temps était magnifique et je passai une bonne demi-heure à faire du lèche-vitrines. C’était très agréable de sentir l’air caresser mes fesses et mon sexe. J’apercevais mon reflet dans les vitrines et je me trouvais jolie. Soudain, un homme m’aborda, me complimenta sur ma beauté et me proposa d’aller prendre un verre. Allons, pensai-je en acceptant, je suis venue pour ça. Nous nous installâmes à la terrasse d’un café : nous prîmes chacun une bière. L’homme me dit s’appeler Philippe avoir 45 ans et vivre seul. Il me dragua de façon éhontée pendant les minutes qui suivirent, me complimentant à nouveau sur mes seins qui pointaient à travers le tissu, sur mes cuisses totalement découvertes, sur le galbe de mes hanches… Je buvais ses paroles : ça n’était pas désagréable de s’entendre dire de telles choses. Lorsque nous eûmes terminé nos bières, il m’invita à l’accompagner chez lui ; il habitait à cinq minutes : j’acceptai. Tandis que nous marchions, il en profita pour passer son bras autour de ma taille et poser sa main sur ma hanche. Je le laissai faire, bien que je sentisse ma robe remonter, risquant sous peu de dévoiler mon ventre et mes fesses. D’ailleurs, les regards des personnes que nous croisions étaient plutôt orientés vers le haut de mes cuisses ! Il s’arrêta devant une porte cochère, composa un code et me fit entrer. Il me fit passer devant pour monter un ...
... étage ; il ne devait rien manquer de mon cul et de mon sexe nus. Au premier, il me fit entrer dans son appartement. Nous ne perdîmes pas de temps en préliminaires : nous savions tous les deux pourquoi nous étions là. Il m’enleva ma robe, s’arrêtant quelques secondes pour me contempler, puis il se mit rapidement nu, me dévoilant un corps un peu empâté, mais encore potable. Il me poussa devant lui jusque dans une chambre presque totalement occupée par un immense lit. Et là, il me baisa sauvagement. Tout y passa : ma bouche, mon cul, mon ventre. J’eus droit à la totale ! Ce salaud-là savait y faire et, en plus, il était d’une endurance incroyable. Il me fit jouir trois fois avant de jouir lui-même dans mon ventre, mais cela ne l’arrêta pas : il ne débandait pas. Il changea de préservatif et me sodomisa violement et longuement, tout en pénétrant mon ventre avec ses mains. Mon cul me brûlait et me faisait plaisir en même temps, mon clitoris réagissait sous ses mains, mon ventre se gonflait de désir. Je jouis encore à plusieurs reprises avant qu’il ne s’écroule sur moi, satisfait. À plat ventre le nez dans l’oreiller, écrasée sous le corps de Philippe, je respirais avec difficulté. Je sentis dans mon anus son sexe qui se dégonflait et glissait petit à petit vers l’extérieur. Philippe se leva brutalement, me permettant de retrouver mon souffle. Je l’entendis ouvrir un tiroir, et, juste après, parvint à mes oreilles le bruit caractéristique d’un appareil photo. C’était vraiment le dada ...