1. Nymphomanie


    Datte: 26/04/2018, Catégories: f, fh, fhh, fhhh, plage, campagne, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral 69, fgode, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, jouet, confession, totalsexe,

    ... de tous les hommes ! Je restai le nez dans l’oreiller, car n’étant pas masquée, je ne voulais pas qu’il prenne mon visage. Mais Philippe ne l’entendait pas ainsi ; après m’avoir longuement photographiée de dos, il me retourna de force. Je cachai mon visage derrière mes bras ; au début, cela ne le gêna pas : il était trop occupé à prendre mes seins, mon ventre et, après m’avoir écarté largement les cuisses, mon sexe béant et luisant. Mais à un moment, il attrapa mes deux poignets dans une seule de ses mains, me les bloqua au-dessus de la tête et photographia mon visage. J’essayai de lui échapper et de tourner mon visage, mais mes efforts me parurent bientôt vains : je me laissai aller, lui permettant de prendre un grand nombre de clichés à visage découvert. Advienne que pourra ! J’espérai simplement qu’il garderait ces clichés pour lui. Quand il en eut assez, sans plus de façon, il me mit debout, me donna ma robe, mon sac à main et un billet de cinquante euros et me poussa hors de l’appartement sans un mot comme une vulgaire putain ! La porte claqua dans mon dos et je me retrouvai sur le palier ma robe à la main ; je m’empressai de la réenfiler et je sortis de la maison, un peu honteuse du billet que j’avais rangé dans mon sac : une heure et demie de plaisir plus cinquante euros, c’était un très bon après-midi ! Je rejoignis ma voiture ; sur le trajet je me fis aborder deux fois par des hommes, mais je n’avais plus la force d’accepter leurs avances. Après cet épisode un peu ...
    ... violent mais si bon, toujours en manque de sexe, j’hésitai à draguer en ville ou sur internet. Je décidai de recontacter Alex. Sa réponse ne se fit pas attendre : il me demanda si j’avais de nouvelles exigences, car il avait des demandes de nombreux internautes qui avaient vu mes contributions. Je lui réitérai mon refus de la violence mais je ne mis pas deveto à la laideur ou à la grosseur de mes futurs partenaires, car ils m’avaient prouvé que ça n’était pas un gage de réussite ou d’échec, j’y avais réfléchi de longues heures. Je lui demandai également de pouvoir porter la voilette qu’il m’avait présentée à notre première rencontre car la pensée que je pourrais être reconnue m’excitait énormément : le danger stimulait ma libido. Je lui demandai aussi d’avoir des partenairescleans, sans préservatif : j’avais envie de sentir gicler au fond de moi leurs jouissances. Il me proposa une journée entière le 28 mai pour un gang-bang avec plusieurs internautes dont tous auraient un test HIV récent négatif. J’acceptai ce rendez-vous qui devait avoir lieu à une vingtaine de kilomètres de chez moi. Mais il me restait huit jours à attendre et j’étais en manque. J’eus beau sauter mon mari le soir même, je ne fus pas calmée. Le lendemain, je repris le chemin de la ville voisine, vêtue cette fois-ci d’une minijupe serrée blanche sans rien dessous et d’un débardeur « Tequila Solo » largement échancré sur les côtés, dévoilant mes seins en partie, que mon mari m’avait acheté sur internet. C’était ...
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