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Le banquier
Datte: 27/04/2018, Catégories: f, fh, extracon, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, occasion,
... Lentement, il se releva, embrassant l’intérieur des cuisses de son amante. Elle allait le saisir par les cheveux quand ils furent soudainement interrompus par un bruit de pas… Des personnes venaient de pénétrer dans la succursale ! Monsieur Pic Aillon coupa aussitôt la musique du PC et regarda avec inquiétude en direction de la porte. Pensez donc, se faire surprendre en pleins ébats sexuels avec une de ses clientes. Cela aurait sans aucun doute des conséquences désastreuses sur sa carrière. Ils retenaient tous deux leur souffle, écoutant ce qu’il se passait à quelques mètres d’eux. C’était un couple qui venait retirer de l’argent au distributeur automatique. Tandis que l’homme pianotait sur le clavier de l’automate, ils entendirent le bruit des talons de la femme se rapprocher dangereusement du bureau de monsieur Pic Aillon. Marianne faillit éclater de rire quand elle remarqua que l’angoisse qui gagnait son amant avait une conséquence fâcheuse sur la virilité de son amant… Heureusement, ce n’était que le présentoir à prospectus qui intéressait la cliente. L’automate délivra ses billets et le couple ressortit de l’agence. Le silence revint. Marianne lança un regard complice à son partenaire et relança les ébats. Elle le ressaisit par les cheveux et l’approcha de son entrecuisse, plongeant le nez de monsieur Pic Aillon dans sa fine toison pubienne. Il se délecta de ce nectar qui s’écoulait de cette grotte intime. Sa langue écarta les petites lèvres et s’immisça délicatement ...
... dans le vagin de Marianne. Elle croisa les jambes autour du cou de son partenaire. Son index droit se glissa jusqu’à son clitoris. Sa main gauche s’affairait autour de sa poitrine. De ma cachette, je pouvais l’entendre gémir de plaisir. Ses doigts s’agitaient de plus en plus fort. Elle communiquait sa frénésie à son amant, car celui-ci accéléra aussi le rythme de son cunnilingus. Un spasme, puis un deuxième et son corps tout entier fut balayé par son orgasme. Le deuxième de la journée. Et ce n’était pas fini ! Monsieur Pic Aillon se releva doucement. Il rebandait de nouveau fièrement. Il présenta sa verge à l’orée de l’intimité inondée de Marianne. Il n’eut pas à insister pour la pénétrer d’un seul coup de reins. Son sexe englouti par le vagin de Marianne, il resta immobile un instant, savourant cet instant de douceur. Il sentait le long de son sexe les palpitations des parois intimes de son amante. Quand il reprit son va-et-vient, il lui fit l’amour de plus en plus vite. Se retirant parfois pour mieux y revenir, reprenant de plus belle ses puissants assauts. Marianne se redressa. Ses doigts se plantèrent dans le dos de son amant. Collée à sa poitrine, elle lui mordillait les tétons avec frénésie. Sa poitrine se balançait au rythme des coups de boutoir de son amant. Ils ne s’arrêtèrent qu’après avoir explosé ensemble, se libérant dans un tourbillon de plaisir de cette tension qu’ils avaient fait naître entre eux… Ils mirent quelques instants à reprendre leurs esprits. Ils se ...