1. Nous sommes seuls


    Datte: 17/07/2017, Catégories: fh, frousses, amour, volupté, Masturbation pénétratio,

    Je partage mon appartement avec trois autres personnes, sans compter celle que je pourrais considérer comme ma copine, si l’on faisait abstraction de mon irrépressible soif de liberté qui me fait l’appeler « Sophie » et non « ma copine » devant les gens à qui je la présente. Mais j’ai pour elle un sentiment probablement plus profond que bien des gens qui sont en « couple » avec leur « copain» ou « copine ». Tout cela pour dire que chez moi, c’est difficile d’être seul, ou en tout cas, ça se fait rare. Pour les jeux un peu érotiques, c’est triste, bien que je ne me plaigne pas du coût de mon loyer, ni de la vie qu’il y a à l’appartement. Il ne faudrait pas exagérer non plus, on ne s’empêche pas de faire l’amour, simplement que c’est en général trop silencieux. Aujourd’hui, divinement, nous sommes donc seuls. Côtoyer et serrer contre soi une femme magnifique, simple, intelligente et en plus douée d’humour, c’est ou bien une denrée rare, ou bien je n’ai jamais été chanceux. Pour une raison ou pour une autre, j’ai décidé qu’il me fallait faire tout ce que je pouvais pour que ça fonctionne. Allez donc savoir pourquoi ! Ce matin, nous nous réveillons, lovés l’un contre l’autre, gorgés de la lumière du jour qui perce les stores. C’est avec force soupirs, étirements et gigotements qu’elle se rapproche de moi, que nous nous fondons plus encore ensemble. Qu’est-ce que je suis bien. Son corps est chaud et frais à la fois, doux et tendre. Je passerais des heures à la câliner. Ses ...
    ... cheveux roux et courts retombent sur sa nuque, frémissante de mon souffle. Dans un coin, l’ordinateur, réglé à la minute, se met en marche. 9h le matin. Ni elle, ni moi n’avons quoi que ce soit de prévu avant 15 heures. Qu’est-ce que je suis bien… On se rendort doucement, bercé par nos respirations et notre chaleur qui se mêle. Je me réveille à nouveau, il est presque dix heures trente. Hier, nous avons parlé d’une balade roller/vélo, alors il faudrait bien chasser un peu le sommeil. Je me lève, tirant tant bien que mal mon bras de sous son corps toujours alangui de sommeil. Je vois son visage. Elle émet un gémissement contrarié, fronce les sourcils sans ouvrir les yeux et saisit ma main dans la sienne pour la retenir. J’hésite. Je caresse un instant son épaule dévoilée, puis tire doucement sa main. Elle roule sur le ventre. —Pfffff, lance-t-elle en tournant sa tête vers moi, m’offrant un sourire resplendissant. Elle ramène sa cuisse nue sur le côté, me dévoile ses fesses charnues, son dos un peu cambré, toute sa beauté. Je pose ma main dans ses cheveux, les peigne entre mes doigts, approche mon visage pour enfouir mon nez et m’enivrer de son odeur. Je dépose un baiser dans sa chevelure et m’écarte pour enfiler boxer et pantalon qui traînent quelque part par là. — Continue de dormir, je reviens avec le déjeuner.— Hmmmmm Je souris en coin et m’enfuis dans la cuisine. Pain perdu, jus d’orange, thé à la menthe. Je cherche dans cette maudite cuisine quelque chose qui puisse bien me ...
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